Analysant la portée du rapport relatif au nouveau modèle de développement, en ce qui concerne les droits des femmes, des féministes marocaines ne voient pas en ces propositions une clé pour éradiquer les disparités et les discriminations basées sur le genre. Pire, l’ADFM y voit une zone grise, susceptible de faire reculer les actions égalitaires.
A la lumière de sa lecture du rapport de la Commission spéciale sur le nouveau modèle de développement, l’universitaire Youssef Belal livre à Yabiladi son analyse des axes abordés par la CSMD. L’expression de bonnes volontés formulée dans ce document comprend, selon lui, des lacunes à plusieurs niveaux, à commencer par la méthodologie. INTERVIEW.
Avec près d'un an de retard, la Commission spéciale pour le modèle de déceloppement a présenté son rapport au roi Mohammed VI.
En évaluant l’impact des actions de l’agence pour la promotion et le développement économique et social des provinces du sud, deux chercheurs de l’EHTP et l’Université Ibn Tofail affirment que la nouvelle génération de Sahraouis est «plutôt encline à vouloir privilégier un nouveau mode de gouvernance territoriale.
Malgré l’ouverture du Maroc sur le marché international notamment par le biais des accords de libre-échange, le royaume ne parvient toujours pas à accélérer les créations d'emplois et augmenter le niveau de qualification. Pour y parvenir, trois chercheurs suggèrent, entre autres, d’«infléchir les accords de libre-échange déjà conclus dans le sens d’accords de
Pour l'acteur associatif et entrepreneur social Elmahdi Benabdeljalil, qui a travaillé sur l’autonomisation de village en zones rurales et montagneuses, «l’humanitaire est un pansement fragile d’une blessure béante». Aux côtés des actions occasionnelles, il prône un accompagnement au développement destiné aux villages reculés du royaume.