Si ses rédacteurs ne mâchent pas leurs mots pour critiquer le nouveau modèle du développement, le mémorandum d'ATTAC Maroc propose des «éléments de développement alternatif du point de vue populaire».
Analysant la portée du rapport relatif au nouveau modèle de développement, en ce qui concerne les droits des femmes, des féministes marocaines ne voient pas en ces propositions une clé pour éradiquer les disparités et les discriminations basées sur le genre. Pire, l’ADFM y voit une zone grise, susceptible de faire reculer les actions égalitaires.
A la lumière de sa lecture du rapport de la Commission spéciale sur le nouveau modèle de développement, l’universitaire Youssef Belal livre à Yabiladi son analyse des axes abordés par la CSMD. L’expression de bonnes volontés formulée dans ce document comprend, selon lui, des lacunes à plusieurs niveaux, à commencer par la méthodologie. INTERVIEW.