Le gouvernement espagnol, malgré toutes les critiques proférées à son égard par l’opposition, le secteur associatif et une grande partie des médias, semble être un des rares acteurs officiels à garder raison dans le dossier du Sahara et des événements de Laâyoune. Sa ministre des Affaires étrangères, Trinidad Jiménez, est même allée de l’avant sur l’appréciation
L'Organisation marocaine des droits humains (OMDH) s’est mise d’accord avec d’autres organisations non gouvernementales, pour étudier et analyser les événements survenus dernièrement au camp Agdaym Izik et dans la ville Laâyoune. En attendant les conclusions de cette démarche conjointe, l’OMDH qui a tenté de faire le point sur ces événements tragiques, a rendu public une synthèse d’un rapport,
Quel intérêt stratégique le Sahara représente-t-il pour les médias espagnols ? Depuis les évènements de Laâyoune le 8 novembre dernier, toute une valse de mensonges en provenance du voisin du nord s’abat sur le Maroc. Derniers coups reçus : la mort annoncée de deux citoyens bien vivants et «une pure invention» de propos attribués au président de l’Association le Sahara Marocain.
Il a suffit, ce lundi, à ce qu’un couple pro-sahraoui parle de «génocide» à Laâyoune pour que les médias espagnols reprennent le terme sur leur «Une». Une démarche qui, en plus de leur ôter tout professionnalisme, renseigne également sur leurs intentions d’envenimer la situation.
Le nombre de victimes des attroupements à Laâyoune augmente au fil des heures. Et c’est déjà la guerre des chiffres entre les sources officielles du Royaume et celles du Polisario. Même si la tournure des évènements a surpris plus d’un, force est de reconnaitre que les conditions d’un tel dénouement étaient déjà réunies depuis longtemps. Détails.
Depuis le mardi 26 octobre, l’enclave de Melilla est en proie à des affrontements entre des jeunes de quartiers périphériques de la ville et la police espagnole. L’agence de presse MAP a annoncé la mort jeudi soir, d’un jeune manifestant. Une information aussitôt démentie dans la presse espagnole. Auparavant, le dimanche 24 octobre, un jeune Sahraoui de 14 ans a été tué par balle par les forces de l’ordre au
Parti d’un problème d’ordre social, l’affaire du camp de Gdeim Izik près de Laâyoune a pris une sérieuse tournure politique, après la mort d’un jeune Sahraoui lors d’affrontements avec la gendarmerie royale. Les versions s'affrontent, et l'instrumentalisation politique n'est jamais loin. Un petit récapitulatif s'impose, alors qu'une enquête a été annoncée. Entre temps, la situation semble
Un jeune de 14 ans a été tué et cinq autres blessés par la gendarmerie dimanche soir près de Laâyoune. Les faits se sont produits à la suite d’échauffourées entre «la gendarmerie royale et des jeunes» d’après l’AFP, près d’un campement dressé à une vingtaine de kilomètres de la ville. En attendant la fin de l’enquête judiciaire, beaucoup
La nouvelle crise qui était en gestation entre le Maroc et l’Espagne appartiendrait déjà au passé. Après avoir reçu des explications de la part du Maroc, l’Espagne considère désormais comme classée, l’affaire de l’interpellation de militants espagnols par la police marocaine. Le secrétaire d'Etat espagnol aux Affaires étrangères en personne, Juan Pablo de Laiglesia, a fait l’annonce