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Grand Angle

24 avril : Manifestations, la rue maintient la pression

Le mouvement de contestation lancé le 20 février ne faiblit pas. Le rendez vous mensuel des manifestants a encore réuni plusieurs milliers de personnes au total, hier, dimanche 24 avril, au Maroc, au Québec, en France, en Belgique et en Italie.

Publié
Casablanca
Temps de lecture: 2'

Près de 10 000 personnes ont défilé, hier, dans les rues de Casablanca. Le comité logement de Casablanca, le groupement des diplômés chômeurs, un MRE venu de Grande Bretagne, un homme exproprié, vivant sous une tente de plastique depuis 3 ans (photo), réclamant le droit de vivre dignement ... Une foule hétéroclite a marché depuis la place de la victoire, à Derb Omar, jusqu’au croisement au Boulevard Hassan II, devant Bank Al Maghrib.

Pour tous, les annonces royales du 9 mars et la libération de 190 détenus politique, ne suffisent pas. Le Mouvement du 20 février, catalyseur des revendications, avait décidé, à l’issue de la manifestation de réaliser un sit-in de 24 heure sur la place Nevada, à Casablanca, jusqu’à lundi 11h. A 5heures du matin, le petit groupe a été délogé dans le calme par la police et a définitivement quitté la place à 8heures.

Dans le reste du Maroc, la mobilisation, comme à Casablanca, semble sensiblement égale à celle du 20 mars, bien qu’il soit très difficile d’avoir des données chiffrées fiables. A Rabat, la MAP annonce 2500 personnes et l’AFP table sur 6000 manifestants. Ils étaient entre 2000 et 2500 à Tanger, 1500 à Tétouan, 700 à 800 à Oujda et 90 à Laayoune, selon les chiffres de la MAP.

Le reste du Monde

Des manifestations de soutien au Mouvement ont eu lieu dans les principaux pays de résidence des Marocains à l’étranger. Comme lors de précédentes manifestations de soutien, dont la dernière, le 20 mars, les slogans scandés par les foules étaient partout semblables et faisaient tous échos aux rues du Maroc, le même jour. A Paris, plusieurs centaines de manifestants se sont déplacées devant les grilles du consulat du Maroc.

A Bruxelles, leur nombre était similaire.

A Montréal, au Canada, le groupe de manifestants a rassemblé un peu moins d’une centaine de personnes.

Enfin, à Barcelone, en Espagne ils étaient une cinquantaine, dont beaucoup d'Amazighs.

pression.?????????!!!!!!!!!!!
Auteur : temsamane
Date : le 26 avril 2011 à 17h38
20.000 personnes sur 35 millions de citoyens, et vous parlez de pression...(????????????!!!!)

sur les 20.000 personnes presentes, il faut compter plus de 50% de curieux.

le mouvement s'essoufle .........il ne represente plus rien ni personne.

Completez La liste des partis a dissoudre et des figures politique a envoyer a une retraite bien meritee'!!!
Auteur : mouzhair
Date : le 26 avril 2011 à 10h24
Dans le nouveau Maroc, il doit plus y avoir de place dans le paysage politique pour certains figures et la liste de ces figures doit être defini par le peuple , je vous invite a proposer les noms pour complter cette liste :


1. Abass El Fassi & Famille
2. Taib Fassi Fihri
3. Les 3 autres Fassi Fihri ( je connais pas les noms, celui de ONE et des Autoroutes du Maroc)
4. Fouad Ali El Hima
5. Majidi
6. Badou ( ministre de la ,, sante’,, publique)
7. Khalid Naciri ( A cause de l’histoire de son fils avec le policier de Rabat)
8. …..
9……
10……
11…..



Et je vous invite aussi de complter la liste des partis politique a dissoudre :

1. Parti de l’istiqlal ( A cause de sa plotique genocidaire a l’encontre de la culture et de la langue amazigh de la plus grande composante du peuple marocain en l’occurrence : LES AMAZIGHS.

2. Le parti du policier qui a participe’ aux tortures lors des annee’s du plomb ( le parti de Monsieur Aberchan)

3. Le parti de Monsieur El Hima

4…….

5…..

6…..



Les gens cite's dans la liste qui doivent quitter le paysage politique marocain, sont aussi des marocains, ils doivent jouir des memes droits et devoirs que tout les autres citoyens marocain sauf LA POLITIQUE ou la participation au grande decision et orientation du pays.
Il YA URGENCE
Auteur : lemarocainfier
Date : le 26 avril 2011 à 03h27
La corruption est la gangrène qui n’a que trop rongé notre pays.
A tous les niveaux, des politiciens, des hauts fonctionnaires, des hommes d’affaires ont développé une double personnalité, celle médiatisée de l’intelligentsia « intègre » au service du développement et l’autre bien dissimulée de personnages cupides et avides d’accumulation de pouvoirs et de fortunes, dévoilée dans des cercles restreint de clans cultivant leurs intérêts et les rivalités avec les autres groupes similaire. Il suffit de répertorier les patrimoines accumulés les vingt dernières années par les haut fonctionnaires et Hommes d’affaires évoluant dans les constellations pour mesurer l’ampleur du phénomène.
La réalité amère d’aujourd’hui est un Maroc à deux vitesses.
L’enseignement qui fut jadis un levier d’ascension sociale a été totalement « défiguré ». Il suffit de rendre visite aux hôpitaux publics pour se rendre compte que notre infrastructure n’est même pas apte à préserver la dignité humaine.
Notre justice, exacte dans les textes s’avère incohérente dans les pratiques de l’Institution judiciaire.
La lucidité nous impose aujourd’hui de mesurer l’urgence de mettre un terme à cette dérive.
La question demeure : Comment et à quel coût économique et social ?
La responsabilité historique de tous les citoyens intègres de notre pays est de rester « entiers», ne pas se laisser corrompre et œuvrer pour un changement positif apte à forger une génération de marocains fiers de leur identité, « entrepreneurs », loyales envers leur patrie, capable de créer de la richesse au lieu de la puiser au détriment des pauvres et démunis.
Un enseignement de qualité.
Une Institution judiciaire forte et indépendante.
Un système de santé aux normes.
C’est là que se situe l’urgence.
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