Les Imazighen célèbrent aujourd'hui Yennayer, le nouvel an amazigh. A l’origine de cette date symbole : l’intronisation du roi Sheshonq 1er en tant que premier pharaon égyptien d’origine amazighe.
Alors que la majeure partie des Marocains oublient son existence, une frange de la population notamment les Imazighen, s’active déjà dans les préparatifs de la célébration de ce nouvel an basé sur un calendrier agraire.
Après avoir signé une déclaration conjointe avec le RNI annonçant que des militants intégreront les rangs du parti de la Colombe, le Front d’action politique amazighe a concrétisé, ce jeudi, son dialogue avec le Mouvement populaire.
Nationalisme, identité arabo-musulmane et marocaine, place de l’Amazigh et rôle de l’école… Le chercheur et professeur universitaire Mustapha El Qadery nous plonge dans les points saillants de son ouvrage revisité «Nationalisme au mépris de soi», désormais disponible en version électronique et dès le mois prochain en version papier.
La proximité entre les Israéliens et les amazighs a souvent été mise en exergue. Yabiladi donne la parole à des activistes amazighs pour expliquer les liens unissant les deux parties.
A la fin du VIIe siècle de notre ère, une cheffe amazighe appelée Dihya réussit à fédérer autour d’elle les tribus d’Afrique du Nord, chassant en majeure partie les armées arabo-musulmanes. Elle constitua un véritable bastion infranchissable, jusqu’à l’envoi d’une armée puissante par le calife omeyyade Abd Al-Malik (685 – 705).