Les initiatives de solidarité se multiplient sur les réseaux sociaux après le drame de l’accident ferroviaire de Bouknadel. Après les dons du sang et les propositions d’hébergement et de covoiturage, c’est une cellule d’écoute psychologique qui vient d'être mise en place par trois spécialistes.
Alors que les leaders du Hirak et plusieurs autres activistes ont été condamnés à des peines de prison ferme, les soutiens venant de l’étranger ne se sont pas pour autant affaiblis.