«Je crois que la seule façon d’améliorer le savoir-faire est d’investir dans les humains. Le matériel est nécessaire, mais sans les hommes et les femmes entraînés, motivés et respectés, il n’est d’aucune utilité.»
«Quand le bébé a pu respirer, est devenu rose et a commencé à bouger ses membres, j’ai vu un beau sourire se dessiner sur le visage de la plus jeune des sages-femmes, un sourire qui a effacé pour un temps les traits tirés occasionnés par les conditions de travail. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elles sont inhumaines.»
Marrakech est désormais la deuxième ville marocaine, après Casablanca, à s’engager pour l’éradication du sida d’ici à 2030. A l’issue d’une table-ronde tenue jeudi dans la cité ocre, la mairie a signé la Déclaration de Paris, s’engageant ainsi à lutter contre le VIH aux côtés de 200 villes à travers le monde. Partie prenante de ce projet ambitieux, Alim El Gaddari,
Certains directeurs d’hôpitaux qui ont l’intelligence de comprendre leurs milieux et créer la valeur ajoutée ont su mobiliser le peu de personnel médical et paramédical qu’ils leur reste pour faire tourner leurs hôpitaux, et leur font gagner de l’argent pour les développer. Mais devant le non remplacement systématique des départs à la retraite et la mauvaise
Hakima est morte, laissant deux orphelins et un mari désemparé. Son histoire va aller au tribunal, et même s’il y aura quelques sanctions, et encore, d’autres femmes et d’autres nouveau-nés vont continuer à mourir tous les jours dans un service public défaillant et parfois meurtrier.
Cette année, la Journée mondiale de lutte contre le Sida (1er décembre) aura été l’une des plus marquantes pour la ville de Marrakech. La ville ocre s’est fixée un objectif volontariste : éradiquer le VIH d’ici 2030. Détails.
«Le climat international et le glissement sémantique d’islamisme vers terrorisme, puis vers Islam et pour finir vers musulmans a fait que cette population qui embrasse une religion décrite comme néfaste et dangereuse est devenue de fait indésirable. L’histoire a toujours tendance à bégayer !»