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Taounate
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9 décembre 2007 16:02
Adresses utiles pour élèves et étudiants désirant pousuivre leur études à l'étranger




Voici le blog d'un conseiller pédagogique de Taounate qui traite différents sujets qui pouvant intérersser élèves, étudiants et diplômés et leur être utlies.

Voici un des liens de ce blog donnant beaucoup d'adresses pour les élèves et étudiants désirants pousuivre leurs études à l'étranger et surtout en Europe. Ces adresses seront utlies aussi pour les élèves de Taounate. Voici le lien:

[nasri.blogit.fr]
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9 décembre 2007 17:11
Concours de technicien agricole dans plusieurs DPA et établissements d'enseignement d'agriculture au Maroc dont Celui de Sahel Boutahar à Taounate



Sur le site du Ministère de l'Agriculture est publié l'avis de concours pour 25 postes dans différents DPA et établissements d'enseignement agricole. Le Centre de Boutahar à Taounate en fait partie.

Il faut postuler avant le 12/12/2007 pour ces postes et le concours aura lieu le 27/12/2007.

Voir le lien suivant pour plus de détails: [www.madrpm.gov.ma]
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10 décembre 2007 01:09
Un livre parlant de Fès au temps des Mérinides cite beaucoup de savants et personnalités Jbalas et Taounatis



Le livre s'intitule: Fès Médiévale, Mohemed Mezzine et al., Série Mémoires, Collection dirigée par Henry Dougier, Editions utrement, 1992, Paris.

L'auteur traduit le livre écrit en arabe d'un andalous laissé pour ses enfants. Il décrit la ville sur tous ses aspects et en se référant à plusieurs auteurs qui avaient écrit sur la ville de Fès.

On pourra trouver parmi d'autres sujets traités dans ce livre:

l'architecture de la ville, de l'Université Karaouyine, des medersas (Léon l'Africain parle de 700 écoles et temples de savoir au 16 ème S.), les habitants qu'il soit bebère, arabe, perse, juifs, andalous venus en catastrophe entre 1492 et 1609 JC, ...., les femmes, les portefaix en majorité originiare de la Moulouya (7ammala ou zerzaya) que les fassis citent comme le facteur de prise du pouvoir des Mérinides , les habitudes des habitants, la cuisine avec les plats des fassis décrit par Ibn RAzin et At-Tujibi et faits soit avec viandes et poissons, soit avec plusieurs légumes et notemment la Bissara ramenée par les Jbalas (page 160) sans oublier les gateaux..., les étales, les marchés, les produits vendus, les commerces, le négoce, , les fondoqs, les Maganas, le savoir, les pesonnalités, les Sultans sutouit Mérinides Abou El Hassan (Sultan laf7Al) et son fils Abou Inan (Sultan lak7al), les savants du Maroc et du Maghreb avec l'Andalousie, l'enseignement, les relations avec MArrakech, l'andalousie, l'Algérie, la Tunisie, l'Egypte, ...

Parmi les savants ayant travaillés à Fès ou qui étaient invités ou venus pour une raison ou une autre, on trouve:

Ibn 3arabi, Ibn Khaldoun, Al Farabi, Ibn Al Habaq (ingénieur), Ibn Hajar (chroniquer et fqih), Abou El Mohaymin Al Hadrami, Ibn Hajala (professeur arithmétiques d'Ibn Al Bannae), Ibn Al Hajib (auteur de Al Mokhtassar), Ibn Haydour (biographe mort en 1413 JC), Abou Zayd Al HAzmiri (maths au 14 S.), Ibn Chatir Al Jambi (soufi), Ibn Rochd, Ibn Sayyid (géomètre andalou), Ibn Shou3Ayb (professeur Ibn Kahldoun), Abou Abdalah Sijilmassi (Prof astronomie à Fès), Ibn Sina (Avicenne), Slai (savant à la cour des Mérinides), Soghayyer (Juge et juriconsulte Vecu à Fès et prof qarawyine), Ibn Baja,

et beacoup de savant Jbala parmi:

le Grammairien de la Qaraouyine : Ibn Ajarrom Senhaji dit Mindyl ou mindil(prof d'Ibn Qonfod), Abou Mohamed Al Fichtaly, Aberrahmane Al Lijai (élèves d'Ibn Al Bannae au medersa Al 3attarine, mort entre 1369 et 1372 et maitre d'Ibn Qonfud), Abou Zayd Al Lijai (ingénieur réalisateur du Clypsydre Magana de Qarawyine après avoir perfectionné la synthèse d'Ibn 3arabi sur le clepsydre et l'astolabe. La lunette de Galilé avait remplacé le tout au 17 S.), Abou ja3far Zoubayt (SEbta), Assarraj, Abdallah Al ourabi (qadi de Fès), Bouceiri Jazouli Senhaji (livre al Borda), Abou Bakr Al HAssan BAkr (mathématicien 12 S.), Ibn Batouta de Tanger, Al Fichtali (savant et prof au temps des mérinides), Ibn Guzay , l'écrivain de la Rihla d'Ibn Batouta, Al Jazari (auteur système hydrolique Bou Inania), Abou Ali Al jzanay (rifain Chroniquer de Fès), Abou Youssef Ibn Abderrahmane El Jazouli le maitre d'Ibn El Bannae, Abou KAmil (auteur du complet d'Algébre mort en 930), Abou El Hassan Lakhmy (auteur de Tabsira), Hassan El Wazzan (Léon l'Africain), MAkkoudi: grammairien de la qaraouyine, Abou Madyan Al Ghawt (Wali entéré à Telemcen), Al Mirrikh (savant et mathématicien de Fès), Abou Al Hassan Ali Al Morrakochi (livre sur cadran solaire), Ibn Najjar (maitre Ibn Khaldoun en maths), Abdallah Al Awrabi al Qabbab (juriconsulte Fès 14 S.), Ibn Al Qadi, Al Qadi Ayyad (juriconsulte de Sebta vecu à Fès), Abou BAkr Al Qalawsi (mathématiques des héritages), Mohamed Al Qarastouny (Grammairien Qaraouyine), Abdallah bn Al Qassim (Mathématicien de Fès), Ibn Qunfud (biographe, faqih, chroniqueur mort en 1406), Ibn Rachayd (Faqih, philosophe Fès), Ibn Sabbagh (maitre Ibn Khaldoun et spécialiste hadith prophète par Al Mowattae), Sarsary (éminent prof hadith), Mohamed Ibn Solayman Essatty (savant à la cour Abou Inan), Yousof Ibn Hakam Tujibi (Grand qadi à Fès), Abdelaziz Al Ouriaghli (Soufi Fès), Abou Ibrahim Ishaq Ibn Mathar Al ouriaghli (Juriconsulte au temps d'Abou Inan), Al Wancharissi (Juriconsute Fès mort en 1502), Ibn Al Yasmine (élève de Abdalah Ibn Qassim, mathématicien mort en 1203 JC ayant écrit 2 traités Al Yassminia et la fécondation des esprits), Abou Ya3za (pôle et Soufi 14 S.), Ibn Abi Ali Ez Znati (prof maths à Qarawyine), Ali Ibn Zar3 (Chroniqueur et auteur d'une histoire à Fès 14 S.), Sidi Ahmed Zarrouq (Grande Soufi 14 S.), Ahmed Ibn Mohamed Zwawi (Spécialiste 7 lectures du Coran), Abou Zayd (Faqih et grammairien), Al-lijai (maitre d'Ibn Qonfudh à medersa Attarine), Abou Bakr El Hassar (mathématien auteur de 2 livres), etc...Il y a beacoup d'autres savant



Modifié 2 fois. Dernière modification le 10/12/07 01:11 par N7abb-bladi.
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10 décembre 2007 16:47
Méthodes traditionnelle de construction chez nos ancêtres avec matériau locaux (pizé, pièrre, schiste, ..)




1- Voici un iite Meda décrivant les méthodes de construction dans différente régions du MAroc et surtout dans le Rif géographiqe (Riafas et Jbalas). Il est très instructif car il nous apprend comment nos ancêtres faisaient pour planifier et constuire avec les différents matériaux locaux que ça soit en pizé, pièrre, schistes, ...en choisissant une architecture laissant circuler de l'air....Dommage, il n' y a pas de village de Taounate sur ce site.

Pouratnt une expérience similaire a été réalisé à Ain Médiouna (Senhaja Chems) au douar Sidi saôud où une maison était constuite en présence des chercheurs de l'Université d'Aix-En-Provence à Marseille et que tout la construction a été filmé de A à Z. Elle a fait même des artciles dans des journaux.....

Il faut savoir que le pizé le plus résistant est celui qui mélange de l'argile aux fibres du chanvre....alors que le pizé le plus utlisé est celui qui mlange l'argile et tiges broyées d'épis de céréales (Tben).


Voici le site qui contient beacoup d'informations sur ces méthodes de construction:

[www.meda-corpus.net]

2- Il y a au MAroc un organisme qui se charge de rassembler les informatons sur les méthodes traditionnelles de construction et qui travaille en coopération avec la Commission européenne via le programme MEDA. En fait, il y a un programme MEDA qui se charge des méthodes traditionnelles de construction en Méditérrannée.
Pour la mise en valeur de notre architecture traditionne à Taounate, je pense que des associations pourraient le contacter pour réaliser des projet et faire une étude complète sur nos méthodes de construction traditionnelles dans notre région de Taounate.


Voici les coordonées du responsable de ce programe au MAroc:

MAROC

Institution / Organisme



Ministère de la Culture, Division du Patrimoine
Ecole des Arts et Métiers Traditionnels de Tétouan
Responsable du projet

Abdelaziz TOURI
Collaborateurs

Mohamed Hafid ZOUAKI
Larbi EL MESBAHI


Adresses

Ministère de la Culture, Division du Patrimoine
17, rue Michlefen Agdal - Rabat

Ecole des Arts et Métiers Traditinnels de Tétouan
Avenue Lmfedel Afilal, BP. 41 - Tétouan

Téléphone : + 212 37 67 13 81
Fax : + 212 37 67 13 97

E-mail: [email protected]




Modifié 1 fois. Dernière modification le 10/12/07 16:55 par N7abb-bladi.
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10 décembre 2007 18:29
Etude scientifque sur le gisement de sel et de sel gemme à Tissa et une Thèse d'Etat sur le bassain de Oued Leben chez les Hyayna-Taounate




1- Après un bref résumé géologique de la région, l'article parle de la mine et sa montagne, des méthodes de récuopération de sel et les quantités extraites (10 000 tonnes en moyenne/an) et commercialisées partout au Maroc, de l'impact de l'exploitation sur l'environnement et surtout sur la rivière Oued Leben.

Voici le lien: [www.um.es]


P.S: C'est dans ces salines que se trouve la plus longue grotte saline d'Afrique: 422 m après son exploration en 2004 par Albert Dubois spéléologue et chercheur belge.

2- Il y a une Thèse de Doctorat d'Etat en Géographie préparée sur une région des Hyayna-Taounate et qui a été soutenue par:

Monsieur Aïssa EL BOUZIDI et intitulée:

Bassin versant de l’oued Lebène :
Essai cartographique et géomorphologique


(Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université Ibn Tofaïl de Kénitra - Maroc)


But de la thèse

La présente thèse intitulée « Bassin versant de l’oued Lebène : Essai cartographique et géomorphologique », a pour objet d’aborder deux grands volets, à savoir : L’établissent de la carte géomorphologique de ce bassin à une échelle de 1: 50.000 et une étude géomorphologique liée à la carte elle-même.
Cette étude a permis de mettre en exergue les particularités spatiales du bassin versant de l’oued Lebène et par-là même celles du Prérif. Ces particularités sont déduites soit de l’observation de la carte, soit de la lecture du texte explicatif : Leur relation est intimement liée, puisque l’une complète l’autre.
Ce travail se distingue par le choix d’une méthodologie dialectique, entre la carte et le texte, d’une part, et entre les parties de ce texte, d’autre part. Ces parties enchainées, se proposent de commenter et d’expliquer le contenu de la carte géomorphologique.

Extrait du site: [www.marocantan.com]
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10 décembre 2007 21:57
pour si n7eb bladi
tjr top allah ykhalik qlal bhalak sidi tjr tes recherches top
a3wachrak mabrouka sidi
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11 décembre 2007 00:24
Citation
phosphati a écrit:
pour si n7eb bladi
tjr top allah ykhalik qlal bhalak sidi tjr tes recherches top
a3wachrak mabrouka sidi

Chokran SSi Phosphati....bach na3tew elqima li bladna khassna n3arffou biha w y3Arfou ennass chno fiha ...Hada 3lach nkatbou 3liha ...hna f Taounate kanou fwassa gham9ine 3lina....Daba safi, Taounate hia Taounate....w Youssoufia hta hia...Ta7iyyati wa 3wacher mabrouka....wajjed lakhrouf...
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11 décembre 2007 21:12
Aides européennes pour la préservation du patrimoine dans les pays de la Méditérrannée et programme MEDA : Organismes à contacter au Maroc



A propos d’Euromed Heritage
Ensemble pour la culture


Le programme Euromed Heritage vise à fortifier les relations entre l’UE et les partenaires méditerranéens. Euromed Heritage donne son appui aux pays méditerranéens dans leurs initiatives de promotion et de préservation de leur patrimoine.

Projets Euromed Heritage I: Corpus, Corpus Levant, Journées euro-méditerranéennes du patrimoine , Expo 2000, Fêtes du Soleil, Ipamed, Cours de formation sur le MaghrebI/II, Manumed / Voir § See, Museomed, L'art islamique en Méditerranée I/II, Pisa, Rias, Salambo, Unimed Audit, Unimed Herit, Symposium Unimed, Exposition "Sauver le Patrimoine Culturel", Encyclopédie de la Méditerranée.

Projets Euromed Heritage II: Delta, Prodecom, Filières innovantes, La navigation du savoir, Voix méditerranéennes, Medimuses, Temper, Patrimoines partagés, Ikonos, Unimed Cultural Heritage II, Ouvrages de défense sur les côtes méditerranéennes.

Projet Euromed Heritage III: À la découverte de l'art islamique, Rehabimed, Qantara, Les débuts de l'islam dans l'empire byzantin.

Les pays partenaires qui participent à cette phase du programme sont: l'Algérie, l'Égypte, Israël, la Jordanie, le Liban, le Maroc, l'Autorité palestinienne, la Syrie, laTunisie et la Turquie, mais aussi Chypre et Malte.

Les Partenaires d’Euromed Heritage II-III au Maroc

DELTA
Ministère des Affaires Culturelles et de la Communication, Rabat

DISCOVER ISLAMIC ART
Ministère des Affaires Culturelles et de la Communication - Directeur du Patrimoine Culturel, Rabat

FILIERES INNOVANTES
Université Hassan II, Mohammedia

IKONOS
LTTI - Laboratoire de Trasmission et de Traitement d'Images, Fes

PATRIMONIES PARTAGES
ENA - Ecole Nationale d'Architecture, Rabat

PRODECOM
Amicale Amitié Coopération de Figuig, Figuig

QANTARA
Ministère des Affaires Culturelles et de la Communication - Directeur du Patrimoine Culturel, Rabat

REHABIMED
CMEM - Centre Méditerranéen de l'Environnement Marrakech, Médina

UNIMED CULTURAL HERITAGE II
East-West Fondation, Rabat


MEDA

MEDA est le mécanisme financier par lequel l'Union européenne finance des programmes institués dans le cadre du processus de Barcelone. Plus de 85% de son budget (€ 5,3 milliards entre 2000 et 2006) est consacré à des programmes bilatéraux, visant à aider les partenaires méditerranéens dans leur effort d'assurer la difficile transition vers une économie de marché moderne. Les crédits MEDA restants vont à des programmes régionaux dans les trois grands domaines d'activité ou "volets" du processus de Barcelone: politique et sécurité, économique et financier, social et culturel. En termes diplomatiques, le dernier volet se traduit par un dialogue entre les cultures et les civilisations, qui favorise l'entente mutuelle grâce à des programmes au niveau des médias, de la jeunesse, des technologies de l'information et du patrimoine.

Voir le site: [ec.europa.eu]
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11 décembre 2007 21:52
programmes de lutte contre la précarité à Taounate




Voici un article extrait du sute du journal: [www.aujourdhui.ma]

Priorité à la lutte contre la précarité

Taounate. Le comité provincial a adopté des programmes d'action visant à améliorer les conditions de vie des populations locales démunies.


La province de Taounate a fait de la lutte contre la pauvreté et le déficit social son cheval de bataille, et ce depuis le lancement de l'Initiative nationale pour le développement humain. Dans ce cadre, le comité provincial a adopté des programmes d'action avec des projets visant à améliorer les conditions de vie des populations locales démunies, indique un communiqué de la province. Des plans d'action minutieusement agencés dans leur structure et leur chronologie se déclinent en un programme prioritaire 2005 et en un programme transversal de lutte contre la précarité couvrant la période 2006-2010. La mise en oeuvre du programme prioritaire se caractérise par l'identification de 10 projets pour un montant global de 1.505.000 DH et a concerné l'infrastructure, les services sociaux de base et l'appui à la création d'activités génératrices de revenus stables et d'emplois. S'agissant des projets retenus au titre du programme de l'année 2006, le communiqué mentionne la programmation de 54 opérations dont 3 projets concernent la lutte contre la précarité en milieu urbain et 51 autres initiés dans le cadre du programme transversal. Ces projets, qui sont en cours de réalisation, ont nécessité une enveloppe budgétaire de 10.378.000 DH. Ils sont principalement articulés autour du soutien aux activités génératrices de revenus et l'appui à l'accès aux services et équipements de base, aux composantes socio-éducatives, au développement des compétences et de formation.


Le 9-3-2007 Par : MAP
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11 décembre 2007 22:06
Carte de la pauvreté au Maroc suite au recensement de septembre 2004: Taounate en fait partie avec d'autres provinces



Extrait site du journal : [www.aujourdhui.ma]


Maroc : la carte de la pauvreté


La carte de la pauvreté, établie par le Haut Commissariat au Plan sur la base des résultats du RGPH 2004, place les provinces du sud en tête des zones les moins pauvres. Les provinces les plus défavorisées se trouvent au centre et au sud-est.


«Il s’agit d’une première pour notre pays ». C’est en ces termes qu’Ahmed Lahlimi, Haut commissaire au Plan, a introduit la carte de la pauvreté établie par son département sur la base des résultats du Recensement général de la population et de l’habitat 2004.
Une première puisqu’il s’agit d’un effort et d’une expertise 100 % marocaine qui a, en outre, reçu l’aval des autorités internationales compétentes en la matière. Lors d’un point de presse tenu à Rabat mardi 4 octobre pour la présentation de ces résultats, M. Lahlimi a brassé un tableau général des différentes données démographiques, socio-économiques et culturelles qui ont résulté du recensement de septembre 2004. Chiffre le plus important livré lors de cette fin d’après-midi, le taux de pauvreté dans notre pays qui a enregistré une baisse passant ainsi de 16,5 % en 1994 à 14,2 % une année plus tard.
Un taux qui diffère d’une région à l’autre, voire d’une commune à une autre au sein d’une même province. Cette baisse du taux de pauvreté a été plus accentuée en milieu urbain qu'en milieu rural. Dans les villes, toujours selon les chiffres livrés par Ahmed Lahlimi, le taux de pauvreté a chuté de 2,5 points, contre seulement un point dans les campagnes.
Afin de saisir les clivages et les disparités socio-économiques entre ces différentes régions, trois types de cartes ont été dressées : de la pauvreté, du développement humain et du développement social.
Pour la première, il s’agit de cartes du taux de pauvreté par commune, aux niveaux national, provincial et régional ainsi que des cartes de la pauvreté infra-communale des villes chefs-lieux des provinces. Pour ce qui est du développement humain, le Haut Commissariat au Plan a développé des cartes de l’indice de développement humain par commune, également aux niveaux national, régional et provincial. Quant au développement social, indice qui concerne essentiellement le milieu rural, il s’agit de carte de l’indice de développement social par commune, aux niveaux national, régional et provincial. Les trois suivent une seule approche, celle de la «poverty lapping», récemment développée et qui se base sur le couplage des données disponibles au Haut Commissariat à travers les différentes enquêtes menées ou les résultats du RGPH 2004.
Et la carte communale de la pauvreté (voir infographie ci-contre), élaborée également sur la base des résultats de l'enquête sur la consommation et les dépenses des ménages de 2001, de livrer une vision très précise de la répartition des richesses.
D’une manière générale, la proportion des populations pauvres est inférieure à 10 % dans près de 30 % des communes marocaines, beaucoup d’entre elles, il est vrai, se situent en milieux urbains, contre quelque 20 % uniquement en milieu rural. Lorsque le taux de pauvreté se situe à un niveau intermédiaire, c’est-à-dire, entre 10 % et 20 %, la proportion des communes s’établit au tiers.
Et les 40 % des communes restantes connaissent des taux de pauvreté supérieurs, soit supérieurs à 20 %. Des communes se trouvant en milieu rural pour la plupart d’entre elles. Arrivent en tête des régions les plus riches du Royaume les provinces du sud : Aousserd, Assa Zag et Oued Ed-Dahab avec un taux inférieur à 5%. Seules les plus riches provinces de la wilaya du Grand Casablanca arrivent à les concurrencer dans ce domaine, notamment Casablanca-Anfa, le Méchouar, Sidi Bernoussi-Zenata, Aïn Chok-Hay Hassani, Aïn Sebaa-Hay Mohmmadi et El Fida-Derb Soltan qui réalisent également un taux de pauvreté inférieur à 5%. La même performance est à mettre également à l’actif des deux villes de Rabat et de Mohammédia. Ce classement s’explique, signalons-le, par la conjugaison de différents indices pertinents permettant d'approcher le niveau de développement des ressources humaines respectivement à l'échelle des individus et à celle des collectivités. Mais la liste s’élargit au fur et à mesure que ce taux croit. Et là encore, les provinces du sud tiennent la tête d’affiche.

Suite carte....
N
11 décembre 2007 22:09
Suite carte ....

Dans le peloton des provinces qui enregistrent un taux de pauvreté entre 5 % et 10 %, Es-Smara, Laâyoune, Tan Tan et Boujdour occupent des places de choix, aux côtés de Tanger, Salé-Médina, Marrakech, Ben Slimane et Inezgane-Aït Melloul. Pour ce qui est des provinces qui connaissent un taux moyen de pauvreté (se situant entre 10 % et 15 %), elles se situent un peu partout sur le territoire national.
C’est le cas par exemple de Khouribga, Agadir Ida Ou tanane, Guelmim, Marrakech Médina, Oujda Angad, Béni Mellal, Fès Jedid-Dar Dbibegh, Fifuig, Taroudant ou encore Settat.
Le constat le plus alarmant concerne les dizaines de communes et les nombreuses provinces qui se trouvent à l’écart de la dynamique de développement social et humain que connaît notre pays ces dernières années.

Près de la moitié connaissent des taux supérieurs à 15 %. Dans la marge se situant entre 15 % et 20 %, la proportion des provinces du centre et du nord du Royaume est importante : Skhirat Témara, Ifrane, Larache, Nador, Sidi Youssef Ben Ali, Tétouan, El Jadida, Chtouka Aït Baha, Taounate, Khémisset, Safi, El Hoceïma, Jerada, El Kalâa des Sraghna et Meknès-El Menzeh entre autres.

Et lorsque ce taux de pauvreté devient très important, c’est-à-dire qu’il dépasse les 20 %, la marginalisation touche de grandes fractions de la population de ces zones, rurales pour la plupart, mais également urbaines mais ne disposant pas des moindres conditions de vie décentes, à commencer par l’habitat, l’assainissement, l’eau potable, l’électricité et la scolarisation des enfants.
Dans ce cas de figure se trouvent des provinces comme Tiznit, Ouarzazate, Taza, Taourirt, Sidi Kacem, Kénitra, Tata, Al Ismaïlia, Khénifra, Salé Al Jadida, Zagora et Al Haouz.

En bas de ce classement de la pauvreté se situent des zones rurales en majorité qui comptent parmi les plus pauvres du Maroc : Azilal, El Hajeb, Fahs Bani Makada, Boulemane, Essaouira, Errachidia, Sefrou, Chichaoua, Fès Médina, Zouagha-Moulay Yaakoub et Chefchaouen. Les données pour toutes ces provinces révèlent l’insuffisance du capital humain, une structure socio-économique des plus fragiles et un déficit chronique en infrastructure de base.

Autre remarque à souligner : la situation n’a pas beaucoup changé entre 1994 et 2004. « Les régions les plus pauvres se sont encore appauvries », résume Ahmed Lahlimi qui précise que les plus grandes avancées ont été réalisées lors des toutes dernières années précédant le recensement. C’est ainsi par exemple, et en référence aux différentes enquêtes menées par le Haut Commissariat au Plan, que près de 93% de l’augmentation de la part des ménages banchés au réseau de distribution de l’eau potable ont été enregistrés entre 1999 et 2004.

Et M. Lahlimi d’abonder dans le même sens en ajoutant que près de 80 % des avancées en matière de raccordement à l’électricité ont été réalisées durant cette même période. Ces cinq années ont également été édifiantes, également en ce qui concerne la scolarisation de la petite fille. 56 % de l’augmentation de ce taux ont été enregistrés durant cette période, en plus de 50 % de la diminution du taux de pauvreté.

Ahmed Lahlimi n’a pas caché son optimisme à la lecture de ces chiffres, surtout, conclut-il, que l’évolution de l’indice de développement humain (avec un taux d’accroissement de 1,17 % entre 2000 et 2004 contre 1,05% entre 1995 et 2000), donne un fondement objectif à cet optimisme.


Le 6-10-2005 Par : Fadoua GHANNAM
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11 décembre 2007 22:20
Le journal Sada Taounate avait gagné en 2005 un procès contre des administrations d'Etat


Extrait du site du journal: [www.aujourdhui.ma]

Sada Taounate gagne son procès contre l’Etat

Le mensuel régional Sada (écho) Taounate, dirigé par Driss El Ouali, vient de remporter le procès qu’il a intenté en 1998 contre la Primature, le ministère de l’Energie et des directions générale, régionale et provincial de l’ONE.
Le mensuel régional Sada (écho) Taounate, dirigé par Driss El Ouali, vient de remporter le procès qu’il a intenté en 1998 contre la Primature, le ministère de l’Energie et des directions générale, régionale et provincial de l’ONE. Un procès dont l’origine est la coupure du courant électrique survenue le 28 mars de l’année précitée, le jour où la publication fêtait son 4ème anniversaire. Une célébration où était convié le ghotta de la région et qui devait être animée par plusieurs troupes musicales. Mais l’interruption, qui a duré 7h30 à 11h30 du soir en a empêché de le déroulement. Depuis, le journal demande réparation. Une réparation qu’il a fini par obtenir, le Tribunal administratif de Fès ayant tranché en sa faveur, et avec 50.000 DH d’amende. Mais au-delà de l’aspect pécuniaire, ce jugement renseigne au moins sur une chose : l’égalité de tous devant la loi n’est plus une parole en l’air dans notre pays.

Le 3-2-2005
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11 décembre 2007 23:57
80 fermes sur la vallée de la rivière Ourgha-territoire de Taounate- pendant le proctectorat français desservies par la ligne de chemin de fer



Voici un document qui parle des 80 fermes de colons français sur la vallée d'Ouregha appartenant au territoire de Taounate pendant le protectorat sur le Maroc et de la ligne de chemin de fer construite en 1925 et détruite après l'indépendance:

Le Rharb, fellahs et colonsétude de géographie régionale De Jean Le Coz, Publié 1964, Centre universitaire de la recherche scientifique, 1005 pages, Original issu de l'Université du Michigan v.2

Voici ce qui est écrit sur ces fermes:

"
La colinisation sur les rives de l'Ourrha (Ouregha) a pris une autre ampleur.
De la plaine à Tounate environ 80 fermes jallonent la valée. Soucieuse d'affirmer la pénétration française face au Rif, l'administration créa plusieurs lotissements an amont entre mjaâra (Mja3ra) et Taounate et les relia par une voie ferréé à Ain Dfali."


Il faut savoir que la ligne de chemin de fer a été construite en 1925 pour un double objectif: ramener les soldats pour faire la guerre contre les habitants de Taounate où la résistance était farouche et spécialement pour la guerre du Rif (Riafa et Jbala) et transporter les fruits et les récoltes des fermes de colons et des autochtones.
La ferme qui servait pour pépinière étaiet celle d'Ain Médiouna-Senhaja Mosbah (Chems) dont le premier gérant n'était que le fameux Viewchange (appelé Fouchane par les habiatants locaux) qui miatrisait la darija marocaine et qui après 3 ans ou 4 ans de gérance était parti faire son périple au Maroc et qu'on a montré à Amoudou sur 2M.
Il faut savoir que la région d'Ain Médiouna et spécialement Beni-Selmane était connue par une variété unique d'orange qui était très juteuse et souvent sucrée avec une peau très fine. Ces oranges étaient recherchées par les grosistes de Fès, Casablanca et beaucoup d'autres localités au Maroc. Dans les moments de grandes productions, il y a avait même de 20 à 30 camions par jour qui transportaient les oranges vers Fès et les autres agglomérations du MAroc. Actuellement, après la maladie et la viellesse de ces orangers et sans aucun encouragement de l'Etat, la production est minime et elle est souvent vendue sur le marché d'Ain Médiouna uniquement.

Actuellement, il reste 4 ou 5 fermes après la disparition d'une trenatine de fermes en 1993 par le barrage Al WAhda de Taounate, alors qu'il y avait 80 fermes au départ. De plus, la ligne de chemin de fer a été démolie après l'indépendance. Ces fermes et chemin de fer disparus n'ont fait que détruire et destricturer l'économie de Taounate. En fait, si le chemin de fer était resté, il servira aussi au dévelopement de la région de Taounate dans différents domaine et Taounate aura un accès direct en plus sur Sidi Kacem, Kénitra et Rabat. On aurait ainsi le choix d'aller sur un axe Ouest menant à Kénitra Rabat ou Kénitra Tanger et un axe Sud menant à Fès/Oujda ou Fès Meknès ou Fès Ifrane.....

Alors pourquoi, on s'étonne qu'il y a la pauvreté à Taounate après la destruction et la disparition de ces fermes et de la ligne de chemin de fer? Si on avait gardé et entretenu ces fermes, on sera aussi connu et riche comme Berkane qui fournit mandarines, clémentines et oranges ou Midelt qui fournit toutes sortes de pommes ou Agadir et le Gharb pour leurs bananes....

Il faut que Taounate retouve sa splendeur et sa gloire d'antan. On ne veut plus être dans l'ombre d'une autre ville...Basta....



Modifié 2 fois. Dernière modification le 12/12/07 11:28 par N7abb-bladi.
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12 décembre 2007 00:33
Thèse de Doctorat sur une étude lexicale des proverbes en parlers Taounate, Fès et environs.




Voici les références bibliographiques à ce sujet:

1- Lachkar A., (2004), lexiques-grammaires comparés: étude lexicale des proverdes en arabe marocain (parlers de Fès, TAounate et environs) et en français; Thèse de Doctorat; Université Paul Valéry, France.

2- Lachkar A; (2006), "Jebli/mdini, montagnard/urbain: de la mise en scène de la variation linguistique à la suprposition des langues dans la région de Jbala; les mixtes des langues au Maghreb: dimensions socio-linguistiques et conséquences structrales"; Université de MAnouba; Tunis.




Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/12/07 00:34 par N7abb-bladi.
s
12 décembre 2007 11:47
en parlant de linguistique, pourriez vous me dire pourquoi elle a une particularité chez les jebalas?
, des lettres qui ne sont pas prononcées par exemple commele "k" et bien entendu des mots qui ne ressemblent pas aux mots employés par le reste du maroc "darija"...? est ce un heritage du language que l'on utilisait en andalousie? je sais que des mots viennent du lexique rifi mias d'autres sont propres aux jebalas d'ou ma question d'ou viennent ces mots?



Modifié 3 fois. Dernière modification le 12/12/07 21:17 par sawsen9.
n
14 décembre 2007 14:29
selem ailikoum moi ossi je sui de remla on est ptete de la meme famille
b
14 décembre 2007 18:09
Bonsoir Jbala,
ici en Belgique il y a beaucoup de taounati...
N
15 décembre 2007 01:40
Citation
sawsen9 a écrit:
en parlant de linguistique, pourriez vous me dire pourquoi elle a une particularité chez les jebalas?
, des lettres qui ne sont pas prononcées par exemple commele "k" et bien entendu des mots qui ne ressemblent pas aux mots employés par le reste du maroc "darija"...? est ce un heritage du language que l'on utilisait en andalousie? je sais que des mots viennent du lexique rifi mias d'autres sont propres aux jebalas d'ou ma question d'ou viennent ces mots?

Je m'excuse du retard pour répondre à ta question posée sur l'origine du parler Jbala avec l'Alif au lieu du Qaf comme disent certaines tribus Ahwa ou de Qahwa (café). Il faut savoir que c'est un héritage andalou du à l'arabisation des tribus Jbalas (d'origine amazighes) par les contacts pendant des sciècles avec l'Andalousie qui avec l'arrivée des Ommeyades au pouvoir comptait beaucoup de gens de Cham (Syrie et Liban) et d'Egyqpte parlant avec l'Alif au lieu du Qaf et par les andalous (imitant les gens du Cham) et qui sont revenus au Maroc après la défaites des morisques en Andalousie et l'instauration de l'inquisition en Espagne et au Portugal entre 1478 et 1609 JC. Ainsi, le parler de Tetouan, Fès, ....telmecen, ..est le même avec des petites spécifités à chaque région.....On donnera en détail dans un prochain pots comment les tribus Jbalas se sont arabisés...leur parler spécifique avec l'Alif au lieu du Qaf sauf queques exception comme Meziath et Rghiwa qui parlent comme les autres Jbala, mais avec le Qaf (Qallek= il t'a dit) (Al Qroun=les cornes) (Al baqra=la vache).....

On avait cité dans un précédent post comment le pays des Jbala a été arabisé, à quelle date, les facteurs qui ont concouru à son arbisation et parmi eux le contat permanet et l'influence des andalous, ...on peut toujours les revoir sur ce lien:

[www.yabiladi.com]

On avait cité plusiurs routes qui liaient le Maroc et l'Andalousie et qui passaient par Bled Jbala. Il y avait une route qui nous intéresse particulièrement car elle passaient par Badis, Senada, Ketama, Taounate, Tissa et Fès par exemple....
On avait souligné le rôle des Zaouya (séminaires religieux ou confréries) implantées en très grand nombre à Bled Jbala dans l'arabisation de cette dernière et dans l'expansion du savoir et des connaissances entre ses habitants et pour tous les Tolbas du MAroc venant demander la science.
Ainsi, dans le livre "Collège d'Azrou: une élite berbère civile et militaire au Maroc (1927-1957)", son auteur Mohamed Benhlal cite à la page 32 Blad Jbala et Souss comme deux lieux d'enseignement post-coranique, ce qui est un niveau supéreiur à celui du simple apprentissage du Coran. Il cite aussi toutes les fonctions sociales assuées par un Taleb ou un fqih à la page 33. Vous pouvez voir les extrait de ce livre en cliquant sur ce lien:

[books.google.fr]

Ce livre cite aussi un chercheur nommé Paye qui dans un rapport écrivait à propos des écoles dans Bled Jbala avant la colinisation:

"Alors que l'enseignement, en effet, dans la plupart des pays d'Europe, s'est développé d'abord dans les villes et a gagné ensuite progressivement des campagnes demeurées longtemps demeurées dans l'ignorance, il semble bien qu'au MAroc, plus qu'en Algérie et peut-être même qu'en Tusnisie, l'on retrouve chez les diférentes populations du pays, pour peu qu'elles soient sédentaires et attachées au sol depuis longtemps, le même fond d'instruction élémentaire. (...) on est surpris (...) de la densité dans les tribus du montagne du Nord, des mosquées-écoles des villages. Il en étaiet de même dans le Souss, le Haut-Atlas et l'Anti-Atlas, régions berbèrophones du groupe de dialècles tachelhayt."

Donc vous pouvez voir ici que même les français sont surpis du nombre de mosquées-écoles chez les Jbalas, Souss, Haut Atla et anti-Atlas. C'est dans ces zones que Liautey avait installé des écoles françaises pour contre-carrer l'influence de la langue arabe et en formant une élite berbère..comme au Collège d'Azrou...
Donc, en plus d'un grand nombre de mosquées-écoles chez Jbala, il y a un nombre élevé de Zaouyas qui dispensaient un enseignement supérieur comme à Beni-Zeroual et Ouazane en particulier. Donc, les Jbalas ont joué un grand rôle dans le progrès et la civilisation marocaine. On n'était pas des analphabètes, ni des ignorants comme le montre les statistiques maintenant et qui est la conséquences de la marginalisation de Bled Jbala en faveur des agglomérations urbaines depuis 50 ans. Il faut savoir que le premier Vizirs du Ministère des Affaires Islamiques au Maroc était un originaire de Taounate nommé Abderrahman El Jai et donc l'environnement de la propagation du savoir et des connaissances par les mosquées-écoles et zaouya Jablies n'est pas étranger à cette nommination...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/12/07 02:44 par N7abb-bladi.
N
15 décembre 2007 02:48
Citation
nabil250 a écrit:
selem ailikoum moi ossi je sui de remla on est ptete de la meme famille

Enchanté les Rghiwis....Remla est devenue une presque une ville...
N
15 décembre 2007 02:49
Citation
belgomarocaine a écrit:
Bonsoir Jbala,
ici en Belgique il y a beaucoup de taounati...

Salam taounatis de Belgique...mais, on ne voit personne intevenir sur ce topic de Taounate....il est temps peut-être...
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