Contre moi tu t'es serrée, La bouche avide de baisers. Nos langues se sont mêlées, Nos corps se sont cherchés, Nos mains se sont égarées, Notre désir est monté. Dans ton écrin je suis entré, Comme une friandise tu m'a happée. Je suis venu, je suis allé, Tu m'en as redemandé. Comme un volcan j'ai explosé, En une immense coulée. Ma lave t'a irradiée, Par cette fusion réalisée, Notre étreinte s'est achevée. Nous sommes échevelés, Repus, heureux et fatigués, Mais toujours prêts à recommencer....
Tu es là dans mes pensées les plus secrètes Endormie sous un voile que mes doigts fiévreux, Impatients d'effleurer ta beauté discrète Soulèvent d'un geste délicat et langoureux.
Pareil à une étoffe de soie précieuse Finement déroulée sur ta peau de satin, Ton vêtement sculpte tes formes généreuses Et t'épouse fidèlement jusqu'au bas des reins.
Surgie de mon rêve dans un corps nubile, Le regard consumé de chaleurs adultères, Tu répands dans tes caresses des plaisirs subtils Que ne dédaignent pas mes passions passagères.
Les mots qui s'égarent de tes lèvres tendues Comme les soupirs d'une musique imaginaire, S'inscrivent en lettres de feu sur ma peau nue Et me sacrifient à tes ardeurs cavalières.
Tu règnes en mes pensées les plus secrètes Qui naissent et disparaissent sans être apprivoisées, Comme un miroir dans lequel tu te reflètes, Fantasme sensuel que je dois endurer...
Comme un subtil mélange de moiteur et de chaleur, Le corps d'Eve semblait m'inviter à goûter son plaisir. Dans cette douce nuit printanière, montait le désir... Ascension implacable, irrésistible, et d'une incroyable saveur.
Le parfum de nos effluves m'enivrait avec effervescence Tandis que nos mains caressaient nos corps en efflorescence. Nos étreintes devenaient de plus en plus audacieuses et intimes, Et doucement son pulpeux sourire m'offrit le câlin ultime...
Puis, le regard pétillant, je savourais enfin son divin élixir... Lentement, je me délectais de ce suc de fruit défendu. L'envie de la posséder prit alors tendrement le dessus.
Le ballet de notre amour semblait ne jamais pouvoir se finir... Mais dans l'intensité du plaisir, soudain allait jaillir mon bonheur... Un brusque sursaut, mon réveil sonne toujours à cette heure!
Il est en ce monde un plaisir pur et doux Qui sait nous rendre heureux et parfois jaloux. Ce délice empreint de malices et de caprices Eveille en certains les plus folles envies de vice.
Ce plaisir sait, il est vrai, nous jouer des tours, Et même si son destin est souvent bonheur, Il n'hésite pas pour autant à être malheur. On lui prête un nom poétique: Amour.
Amour, fait de plaisir, de délice, de désir. Amour, fait d'embûches, de querelles, de courroux. Amour, plongé dans les pleurs, baigné dans le rire.
Adam et Eve goutèrent le fruit défendu Et l'amour s'évada comme une horde de loups. Leur faute cependant ne fut pas un abus...
Ta main contre la mienne, qui en moi s'aventure Explore peu à peu le puit de ma nature Le désir qui en moi, en vagues déferlantes, Monte, part et revient d'une passion dévorante...
L'ouragan de mon corps, se déchaîne peu à peu, Et me laisse, enfin, dans tes bras pantelante, Je découvre avec toi des plaisirs amoureux, Qui font qu'avec ton corps je sois meilleure amante...
Te désirer si fort, si longtemps m'éblouit, La douceur de tes lèvres, la tendresse de tes doigts, La pression de ton corps au plus profond de moi, Le parfum de ta sève qui toujours me ravit...
Quand après nos ébats je sombre dans l'oubli, Le repos tout à coup semble comme infini, L'éveil de nos désirs prend une dimension, Qui confirme oh combien nous sommes à l'unisson...
Tu es la braise de ma glace. De baiser en caresse, Le chaud et le froid s’effacent. Dans l’abri de tes bras, je brûle avec toi. Sur ta peau je caracole. Une faim nouvelle me colle À chaque atome de ton corps.
Je t’écoute chanter le cantique du feu. L’océan de nos désirs S’abreuve aux vagues de notre tendresse.
J’habite notre fusion. Je te dédie mes frissons. Je m’ouvre à ton extase, Sésame de nos joies.
Transmue ma pudeur. Distille mon impatience Dans le chaos de nos douces folies.
Dès que la nuit étend son voile silencieux, Constellé d’un bouquet d’étoiles protectrices, Mon esprit se retire au jardin des délices, Où m’accueille une fée au sourire gracieux.
D’un regard imprégné d’un désir impérieux, Elle apaise ma crainte, afin que je me glisse Contre son corps qu’éclaire une lune complice De notre enlacement riche en baisers soyeux.
D’une main délicate, elle m’offre un calice Empli d’un élixir dont les chaudes épices Donnent à notre étreinte un parfum audacieux.
Sitôt que le soleil, sur mon visage, esquisse Une caresse tiède aux présages radieux, Je reviens de mon rêve en me frottant les yeux
Le frisson qui sur ton corps ondule Lorsque ma main effleure ta peau lisse, Traîne comme une vague qui se plisse Sur le sable blanc que le soleil brûle.
Le reflet cuivré de ta chevelure Dans l'ultime lueur d'un jour fatigué, Redonne vie à mon corps égaré Comme un tison rouge sur ma blessure.
Telle une flamme qui s'échappe des braises Et jette des éclairs incandescents, Tu es l'âme de mon corps de glaise Qui s'articule autour d'un coeur d'amant.
Ton corps se cache sous un autre corps Que mes yeux seuls peuvent apercevoir, Et quand bien même le premier sera mort, Le second vivra dans ma mémoire.
Mais encore ta chair est bien vivante Qui rythme les saisons de notre amour, Et m'enveloppe d'une passion puissante Qui me submerge d'instants bien trop courts..
La lumière que le soir a fait mauve S'allonge doucement dans mon regard, Tu es là dans mes pensées d'alcôve A cette heure où les amants se préparent.
La nuit qui dépose un voile de velours Sur un lit fait de soie et de satin S'empare de nos corps et de notre amour Et les enlace jusqu'au petit matin.
Et je réinvente pour toi des mots Que tu ne peux lire sur mes lèvres, Qui se perdent sur l'ambre de ta peau Et dans l'émoi de nos corps en fièvre.
La terre au loin dans le ciel se couche Qui jette des cendres dans mon regard bleu, Et je m'attarde au coin de ta bouche Et dans la rosée qui perle à tes yeux.
Et mon corps est envahi de peine De ne pouvoir en toi se répandre, Ah, si la mer était vaste plaine Et ma destinée un peu plus tendre !
Car mon coeur a tant besoin de t'aimer Toi qui dans mes nuits fait briller le jour, Te faire vivre de mes ardents baisers Et de mon regard fait de mots d'amour.
Alors je jette une bouteille à la mer Comme une étoile au milieu de ma nuit, Une larme écrite en lettre de verre Que les vagues emportent et que tu essuies.
Belle île au milieu de mon océan Que le vent décore d'un ourlet d'écume, Tu brilles comme un astre au firmament Et me guides lorsque mon regard s'embrume.
Et je rêve que l'on pourrait s'aimer Et que le monde entier nous enlace, Et que je n'ai plus besoin de rêver Et que jamais plus tu ne t'effaces.
Mais encore tu es bien trop fragile Entre mes doigts qui de manque en tremblent, Et ma douleur se fige immobile Car en ce moment nous sommes ensemble...
petite.princesse a écrit: ------------------------------------------------------- > toi sur moi et moi sur toi > et dans 9 mois nous seron 3 > > looool
eauderose a écrit: ------------------------------------------------------- > aicha a écrit: > -------------------------------------------------- > ----- > > Oups sa chauffe chez les rifain lol > > > > tu ma enlever les mots de la bouche aicha > > > MERCI CHER PRINCE
Je ne sais pas d'ou tu viens Et pourtant en croisant ton regard un jour je me suis dis Tu es unique et un être comme toi est si rare Tes yeux gris vert qui ont croisés les miens me marqueront à jamais je ne saurait jamais ton nom et la couleur de ta peau si dorée que je ne toucherai jamais pour la simle et bonne raison que je ne t'ai pas adressé le moindre mot... Je pense à toi tendrement en rêvant que je te revois et te parle un sourire se dessine...le matin sur mes lévres...
BIEN que tu ne sois pas l' être parfait dont tt le monde rêve je sais que malgré la distance tu penses à moi
Le soleil se couche tu n'es pas près de moi je me promène sur la plage avec Max La brise souffle je sais que c toi qui me caresse Il me parle en souriant ces yeux brillent comme les tiens le jour de notre rencontre je pense à toi tendrement Max me sert contre lui sa main sur ma hanche je me blottis contre lui il m'embrasse tendrement sur le front je ferme les yeux tu me manques mais pas comme tu voudrais je sais que je t'ai brisé le coeur et que tu m'aimes encor la distance .... qui est elle? en t'écrivant je sais que je te manque je sais presque tout de toi et toi rien de moi si ce n'est que tu m'a aimé et même mumuré de ton coeur si sincère
le soir tombe Tu penses toujours à moi ce sentiment ce vide que ni l'un ni l'autre ne pourra combler tu me manque aussi la vie serait elle cruelle à ce point le temps.... et l'amour...