Dans l'obscurité, un homme, une femme, A la seule lueur d'une flamme... Un bel instant de tendresse, Où se mêlent silence et caresses... Lorsque, soudainement, les gestes s'affolent, Dans ce monde toujours sans paroles... Les lèvres se rapprochent doucement, Se touchent et se séparent furtivement... Enfin, un long baiser brûlant, Et l'atmosphère se fait volcan... Les corps brûlants s'enflamment, De ses bras, l'homme serre la femme, Et les membres s'entrelacent, Ne laissant plus aucune place A la moindre petite bulle d'air... Il n'y a plus de repères, Et les âmes s'envolent au paradis, Tandis que les corps restent dans la nuit... Puis, le moment magique et sans fin Où les êtres ne forment plus qu'un... Les secondes se perdent dans le temps Les corps s'enlacent profondément, Jusqu'à la phase finale, Où le monde devient l'extase totale...
love_me
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Si je vous disais, beauté ! Que je vous aime ! Vous me ririez au nez, à gorge déployée Et ce ricanement, déshonneur suprême Serait poison mortel me laissant foudroyé !
Et tous ces mots d'amour qui vous font sourire Car ce sont les mêmes que je dis chaque fois Nous savons bien qu'ils déclenchent votre rire Surtout quand je les dis des larmes dans la voix !
Ainsi je resterai muet et stupide Et tandis que l'ennui s'installera chez vous Vous aurez dans le coeur comme un espace vide Et vous invoquerez le ciel à deux genoux !
Je vois venir l'instant, je vois venir les jours De l'amère solitude peuplée de remords Alors, je n'aurai plus qu'un seul dernier recours Celui de m'envoler pour l'empire des morts !
Aux fruits de la passion Enveloppe-moi aux vagues de l'océan Sois le miroir où tous les rêves se dessinent Sois mon doux amant aux caresses si divines Enveloppe-moi aux yeux du désir naissant
Ose effleurer ma main, qui se fera velours Pose sur mes lèvres ta bouche si câline Pose sur ma poitrine tes mains mandolines Ose les caresses qui font vibrer mes jours
Viens ! J'étanche ta soif aux fruits de la passion Laisse-toi brûler au feu de nos effusions Et goûte sans répit l'amour et ses merveilles
Viens rassasier ta faim à mes fruits interdits Prends ma fleur éclose et bois jusqu'à la lie Vois ce septième ciel que nos sens éveillent
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inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Coule l'eau douce et mousse Vapeur sur mon corps qui s'endort Fermer les yeux voir la lune rousse Sentir tes mains qui cherchent un trésor
Caresse ma peau, fais que je frissonne Prends mon corps chaud, j'abandonne Aux baisers de ta bouche mon désir Fais-moi frémir et gémir de plaisir
Coule l'eau douce et mousse Vapeur sur mon corps qui s'éveille Ouvrir les yeux, voir la lune rousse Sentir tes doigts qui cherchent merveille
Caresser ta peau, voir que tu frissonnes Rendre ton corps dur que tu abandonnes Aux baisers de ma bouche, ton désir Je veux te faire frémir et gémir de plaisir
Coule l'eau douce et mousse Vapeur sur nos corps enlacés Je t'aime....
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Je ne sais si c'est le charme de l'endroit Mais en moi, s'éveille je ne sais quoi Mon cœur palpite mon corps est en émoi J'ai envie d'amour, j'ai envie d'être à toi
Je lis ton désir dans tes yeux trop pudiques Je me lève doucement et jouant l'impudique Je te révèle tout ce qu'une femme doit cacher Je m'approche de toi, mais tu n'oses me toucher
Tendrement je prends tes mains Pour les poser sur mes seins Tes caresses enivrantes et douces Font rouler nos corps sur la mousse
Ne voulant nullement paraître ingénu Tu me fais découvrir ton corps nu Mes lèvres s'attardent dans ton cou Je sens ton souffle chaud sur ma joue
Ma bouche goûte ton désir La tienne s'emplit de ton envie Je bois ta sève source de vie Mon corps frissonne de plaisir
Regardant le ciel nous ne disons rien Dans ce silence, nous somes bien Mais la flamme de nos corps n'est pas éteinte Et nos corps dans une longue étreinte
Font revivre nos corps brûlants Je veux tout de toi et passionnément Je respire cette senteur qu'exhale l'émoi J'embrasse amoureusement tout ce qui est toi.
Notre trouble grandissant Notre fougue débordant Je te donne avec raison Tu prends avec passion
Mon corps exhalté et comblé Mon bonheur est immense Ton plaisir est intense Extase je ne t'oublierai jamais.
Quelle tendre chose que ce péché de chair
Au printemps dans les prés verdoyants À l'ombre d'un pommier ou d'un chêne clair En été, sur le sable, au bord d'un étang Dans la dune qui abrite tant d'amants
En automne, dans les blés jaunissants Dans une grange, loin du regard des passants En hiver, dans un lit couvert de satin blanc Où près de l'âtre sur un tapis d'orient
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Mais quel effet Tu me fais Quand tu défais Mes effets.... Je suis effarée De te voir affairé À effleurer À affrioler Mes reliefs Et bas-reliefs Mais quel effet Tu me fais Quand tu piaffes Quand tu dégraffes Mes fins dessous Frissons fous Je suis ton fief J't'en tiens pas grief Mais......je défais Tes effets Pour voir l'effet Que je te fais Quand tu défais Mes effets... Mais quel effet !!! Je te fais Quand tu défais Mes effets
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Dans un monde rêveur, où la brume s'élève Au coeur d'une plume faisant couler sa sève, Je vis une jeune fille au regard de jais Pétillant de mille feux par tous ses reflets...
Le kimono drapé dans la soie de l'obi Déposait sur cette ombre une allure de reine, La grâce étincelait sous l'éventail fleuri Pour dévoiler une poupée de porcelaine...
Tenant la tasse de saké de ses fins doigts Laissant la fumée, tel un oiseau qui ondoie, S'échapper sous le vent par cette quiétude D'où émane un parfum empli de solitude...
En chacun de ses gestes divins et gracieux Je n'osais respirer de peur de la troubler, D'autant plus que j'étais absolument charmé Par ses graciles pas émerveillant mes yeux...
Dont les empreintes laissées, sous le crépuscule, Offrirent un Lotus rouge sur sa cupule, Du même ton de ses lèvres enluminées Éveillant mes sens par leur magie raffinée...
Comment décrire alors cet émoi délicieux Que ce mirage d'or provoquait en mon sang, Et je baissais les yeux jugeant presque indécent De contempler ainsi ce doux présent des cieux...
Tombé comme un flocon blanc sur mon horizon Telle une perle apportant sa belle oraison Car de ses traits fins dessinés sur son visage S'ouvrit à moi, le plus touchant des paysages...
Ce beau rêve d'orient ne s'effacera pas Tendrement blotti dans le creux de ma mémoire, Et dans l'obscur silence de mes nuits trop noires Brillera un soleil que l'on nomme: Geisha...
Frissons" Il n’est rien de plus doux que ce frémissement Qui parcourt notre corps, vague de vibrations Taquinant l’épiderme en fin fleurissement De picots si soudains dans nos célébrations.
J’aime tant ressentir cet envahissement, Quand se mêlent nos coeurs et nos respirations, Lors nos âmes en plein épanouissement Se tendent vers les cieux… Vives implorations.
Qu’il est bon d’éprouver l’épanouissement De nos sens en émoi, tout de vénérations, Lorsque approche l’extase et l’étourdissement, Assouvissant l’ardeur de nos aspirations.
Rien ne m’est aussi chaud que ce ravissement, Délices, voluptés, folles adorations, Quand enfin confondus en un gémissement Se joignent nos frissons en cris… Libérations.
Je m’abandonne entre tes bras Je te laisse m’aimer sans frontières T’aimer sera mon unique loi Gardant le secret de nos plaisirs de chair Je deviendrai dans le noir ta lumière C’est bien plus qu’une attraction physique Cela ressemble à une harmonie mystique Je me blottis contre ton corps Il me vient des envies de toi Comme si l’on m’avait jeté un sort
Quand je sens mon corps Tout contre ton corps La passion me dévore J’en veux toujours plus et encore Je deviens esclave de tes charmes Et quand la passion est assouvie Des mots tendres nous envahit Tu serres mon corps Tout contre ton corps Et l’on regarde la nuit coucher Avec le lever jour Là où prennent vit nos rêves Ceux de notre amour
Jolie petite tigresse, feule plus fort Il te suivra et voudra un corps à corps. Tu sais, de tes reins souples l'envahir, Il n'a qu'à se laisser par toi, séduire.
Vêtue de ta peau de bête, Tu te sens prête pour la fête. Attachant ses mains à des liens, Tu joues, sur son corps félin.
Une caresse glisse sur son corps musclé, Tu lui offre tes lèvres enflammées. Goûtant , lèchant sa peau, pixel par pixel Tu lui fais voir, toutes les étoiles du ciel.
Prenant le plaisir de l'effleurer, Il se tord sous le plaisir masqué. Mais,en belle tigresse affamée Tu n'as pas fini de le savourer...
En soyeuses caresses tes cheveux dénoués, Glissent doucement sur sa peau dorée. Tes mains aventureuses cherchent des creux, Il gémit, défaillant invoquant les cieux...
Alors, belle cavalière tu viens le monter, Et , ta croupe veut l'emporter au sommet. Il voudrait en sa bouche téter ton sein, Tu l'enserre d'une seule main, il geint.
Mais, la fièvre s'empare d'elle en un instant Ses doigts glissent partout , délicatement. Il connaît l'incendie gémit, sans aucun répit Son sexe en érection durci et reprend vie.
La belle s'achève dans une folle danse, Son bel amant, connaît enfin la délivrance. Dans un long baiser, elle prend ses lèvres Alors doucement s'éteint, leur douce fièvre.
essaie érotique.... Tel une abeille ardente à son ouvrage Qui va de fleur dépouiller son rivage Je vais de mes mains sur ton visage Pour en peindre ton image. Puis lentement d’une main hésitante D’un désir extrême prolonger mon voyage Dans les moindre recoin de ton corsage… De l’autre hésitante j’ose l’aventure Et sans aucune retenu m’aventure Dans les délices humides aux parfums musqués De ta plus grande intimité . Des berges de ta source qui frémit Un doigt indiscret s’enhardi Tes lèvres tel une fleur au matin A mes doigts malhabiles S’ouvrent roses et fragiles. Emplis de désirs Tu soulèves le bassins Je te sens frémir secouée de spasmes Nous faisant jouir d’un mêmes orgasme