Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
poèmes sensuels
r
26 août 2005 17:26
l'acte amoureux

Dans l'obscurité, un homme, une femme,
A la seule lueur d'une flamme...
Un bel instant de tendresse,
Où se mêlent silence et caresses...
Lorsque, soudainement, les gestes s'affolent,
Dans ce monde toujours sans paroles...
Les lèvres se rapprochent doucement,
Se touchent et se séparent furtivement...
Enfin, un long baiser brûlant,
Et l'atmosphère se fait volcan...
Les corps brûlants s'enflamment,
De ses bras, l'homme serre la femme,
Et les membres s'entrelacent,
Ne laissant plus aucune place
A la moindre petite bulle d'air...
Il n'y a plus de repères,
Et les âmes s'envolent au paradis,
Tandis que les corps restent dans la nuit...
Puis, le moment magique et sans fin
Où les êtres ne forment plus qu'un...
Les secondes se perdent dans le temps
Les corps s'enlacent profondément,
Jusqu'à la phase finale,
Où le monde devient l'extase totale...

love_me
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
n
31 août 2005 17:47




Passion


J'aimerais rien qu'un instant
Effleurer de tendres caresses
Ton corps d'un geste lent
Et l'enlacer avec délicatesse


Et sur le haut de ton front
Déposer un tendre baiser
Ultime et troublante passion
D'amour sans pèrversité

Et du bout de mes doigts
Suivre les contours parfaits
De ton corps aux abois
Dans un long soupir satisfait


Laisser ta tete reposer
Sur mon coeur amoureux
N'avoir de cesse de t'aimer
Afin de te rendre heureux


Juste encore une fois pouvoir
Noyer mon regard aimant
Dans tes yeux de velours noir
Ensorcelés comme des amants


Ta mort cruel nous a séparés
Nous privant l'un de l'autre
T'emportant pour l'éternité
Brisant la vie qui etait nôtre
n
31 août 2005 17:51

Complainte





Si je vous disais, beauté ! Que je vous aime !
Vous me ririez au nez, à gorge déployée
Et ce ricanement, déshonneur suprême
Serait poison mortel me laissant foudroyé !



Et tous ces mots d'amour qui vous font sourire
Car ce sont les mêmes que je dis chaque fois
Nous savons bien qu'ils déclenchent votre rire
Surtout quand je les dis des larmes dans la voix !



Ainsi je resterai muet et stupide
Et tandis que l'ennui s'installera chez vous
Vous aurez dans le coeur comme un espace vide
Et vous invoquerez le ciel à deux genoux !



Je vois venir l'instant, je vois venir les jours
De l'amère solitude peuplée de remords
Alors, je n'aurai plus qu'un seul dernier recours
Celui de m'envoler pour l'empire des morts !






Jean Baradat


r
14 septembre 2005 23:28
Aux fruits de la passion
Enveloppe-moi aux vagues de l'océan
Sois le miroir où tous les rêves se dessinent
Sois mon doux amant aux caresses si divines
Enveloppe-moi aux yeux du désir naissant

Ose effleurer ma main, qui se fera velours
Pose sur mes lèvres ta bouche si câline
Pose sur ma poitrine tes mains mandolines
Ose les caresses qui font vibrer mes jours

Viens ! J'étanche ta soif aux fruits de la passion
Laisse-toi brûler au feu de nos effusions
Et goûte sans répit l'amour et ses merveilles

Viens rassasier ta faim à mes fruits interdits
Prends ma fleur éclose et bois jusqu'à la lie
Vois ce septième ciel que nos sens éveillent


xxx


inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
14 septembre 2005 23:29
Danse avec moi

Danse avec moi...
Je mets un slow
Je fais mon show
Love-toi, contre moi.

Laisse s'évader tes mains
Sous mon pull angora
Place à la salsa
Que bougent tes reins...

Plane avec moi...
Sous ma jupe fendue
Rien ne t'es défendu...
Love-toi, contre moi

Vois mon corps qui ondule
Contre le tien qui me brûle
Sous tes doigts, je capitule
Je chancelle et je bascule...

Aime avec moi
Le plaisir que l'on se donne
De nos mains polissonnes
Love-toi en moi

Et que mes hanches frémissent
Quand ton corps dur se glisse
Dans mon pays des délices
Que la sève jaillisse...

Endors-toi avec moi...
Tes lèvres sur ma bouche
Nos corps qui se touchent
Love-toi, près de moi...

xxx


inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
14 septembre 2005 23:29
Coule l'eau...

Coule l'eau douce et mousse
Vapeur sur mon corps qui s'endort
Fermer les yeux voir la lune rousse
Sentir tes mains qui cherchent un trésor

Caresse ma peau, fais que je frissonne
Prends mon corps chaud, j'abandonne
Aux baisers de ta bouche mon désir
Fais-moi frémir et gémir de plaisir

Coule l'eau douce et mousse
Vapeur sur mon corps qui s'éveille
Ouvrir les yeux, voir la lune rousse
Sentir tes doigts qui cherchent merveille

Caresser ta peau, voir que tu frissonnes
Rendre ton corps dur que tu abandonnes
Aux baisers de ma bouche, ton désir
Je veux te faire frémir et gémir de plaisir

Coule l'eau douce et mousse
Vapeur sur nos corps enlacés
Je t'aime....

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
14 septembre 2005 23:30
Péché de chair

Je ne sais si c'est le charme de l'endroit
Mais en moi, s'éveille je ne sais quoi
Mon cœur palpite mon corps est en émoi
J'ai envie d'amour, j'ai envie d'être à toi

Je lis ton désir dans tes yeux trop pudiques
Je me lève doucement et jouant l'impudique
Je te révèle tout ce qu'une femme doit cacher
Je m'approche de toi, mais tu n'oses me toucher

Tendrement je prends tes mains
Pour les poser sur mes seins
Tes caresses enivrantes et douces
Font rouler nos corps sur la mousse

Ne voulant nullement paraître ingénu
Tu me fais découvrir ton corps nu
Mes lèvres s'attardent dans ton cou
Je sens ton souffle chaud sur ma joue

Ma bouche goûte ton désir
La tienne s'emplit de ton envie
Je bois ta sève source de vie
Mon corps frissonne de plaisir

Regardant le ciel nous ne disons rien
Dans ce silence, nous somes bien
Mais la flamme de nos corps n'est pas éteinte
Et nos corps dans une longue étreinte

Font revivre nos corps brûlants
Je veux tout de toi et passionnément
Je respire cette senteur qu'exhale l'émoi
J'embrasse amoureusement tout ce qui est toi.

Notre trouble grandissant
Notre fougue débordant
Je te donne avec raison
Tu prends avec passion

Mon corps exhalté et comblé
Mon bonheur est immense
Ton plaisir est intense
Extase je ne t'oublierai jamais.

Quelle tendre chose que ce péché de chair

Au printemps dans les prés verdoyants
À l'ombre d'un pommier ou d'un chêne clair
En été, sur le sable, au bord d'un étang
Dans la dune qui abrite tant d'amants

En automne, dans les blés jaunissants
Dans une grange, loin du regard des passants
En hiver, dans un lit couvert de satin blanc
Où près de l'âtre sur un tapis d'orient

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
14 septembre 2005 23:35
Mes effets ......tu défais

Mais quel effet
Tu me fais
Quand tu défais
Mes effets....
Je suis effarée
De te voir affairé
À effleurer
À affrioler
Mes reliefs
Et bas-reliefs
Mais quel effet
Tu me fais
Quand tu piaffes
Quand tu dégraffes
Mes fins dessous
Frissons fous
Je suis ton fief
J't'en tiens pas grief
Mais......je défais
Tes effets
Pour voir l'effet
Que je te fais
Quand tu défais
Mes effets...
Mais quel effet !!!
Je te fais
Quand tu défais
Mes effets

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
j
15 septembre 2005 22:51
je suis l'homme qu'il te faut, non je déconne je te souhaite de le trouver.
gros kiss
r
16 septembre 2005 09:46
jawad a rifi

j'ai déjà ce kil faut winking smiley

par contre jte souhaite de trouver chaussure a ton pied winking smiley insha allah ....

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
j
16 septembre 2005 10:56
tu es sérieuse, bon je te souhaite beaucoup de bonheur, dommage à yalis narif inou
r
16 septembre 2005 10:58
mrsi a mis anarrif inou smiling smiley

je t'en souhaite aussi ...





Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/09/05 10:58 par rifia1.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
j
16 septembre 2005 11:01
tu es de quelle endroit rifia 1 ?
r
16 septembre 2005 11:09
et si tu vérifiais ta messagerie privé je t'avais répondu winking smiley

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
n
13 octobre 2005 09:48

Dans un monde rêveur, où la brume s'élève
Au coeur d'une plume faisant couler sa sève,
Je vis une jeune fille au regard de jais
Pétillant de mille feux par tous ses reflets...

Le kimono drapé dans la soie de l'obi
Déposait sur cette ombre une allure de reine,
La grâce étincelait sous l'éventail fleuri
Pour dévoiler une poupée de porcelaine...

Tenant la tasse de saké de ses fins doigts
Laissant la fumée, tel un oiseau qui ondoie,
S'échapper sous le vent par cette quiétude
D'où émane un parfum empli de solitude...

En chacun de ses gestes divins et gracieux
Je n'osais respirer de peur de la troubler,
D'autant plus que j'étais absolument charmé
Par ses graciles pas émerveillant mes yeux...

Dont les empreintes laissées, sous le crépuscule,
Offrirent un Lotus rouge sur sa cupule,
Du même ton de ses lèvres enluminées
Éveillant mes sens par leur magie raffinée...

Comment décrire alors cet émoi délicieux
Que ce mirage d'or provoquait en mon sang,
Et je baissais les yeux jugeant presque indécent
De contempler ainsi ce doux présent des cieux...

Tombé comme un flocon blanc sur mon horizon
Telle une perle apportant sa belle oraison
Car de ses traits fins dessinés sur son visage
S'ouvrit à moi, le plus touchant des paysages...

Ce beau rêve d'orient ne s'effacera pas
Tendrement blotti dans le creux de ma mémoire,
Et dans l'obscur silence de mes nuits trop noires
Brillera un soleil que l'on nomme: Geisha...
n
14 octobre 2005 13:32
Frissons"
Il n’est rien de plus doux que ce frémissement
Qui parcourt notre corps, vague de vibrations
Taquinant l’épiderme en fin fleurissement
De picots si soudains dans nos célébrations.

J’aime tant ressentir cet envahissement,
Quand se mêlent nos coeurs et nos respirations,
Lors nos âmes en plein épanouissement
Se tendent vers les cieux… Vives implorations.

Qu’il est bon d’éprouver l’épanouissement
De nos sens en émoi, tout de vénérations,
Lorsque approche l’extase et l’étourdissement,
Assouvissant l’ardeur de nos aspirations.

Rien ne m’est aussi chaud que ce ravissement,
Délices, voluptés, folles adorations,
Quand enfin confondus en un gémissement
Se joignent nos frissons en cris… Libérations.
j
14 octobre 2005 13:47
n
17 novembre 2005 10:30
Quand je sens mon corps

Je m’abandonne entre tes bras
Je te laisse m’aimer sans frontières
T’aimer sera mon unique loi
Gardant le secret de nos plaisirs de chair
Je deviendrai dans le noir ta lumière
C’est bien plus qu’une attraction physique
Cela ressemble à une harmonie mystique
Je me blottis contre ton corps
Il me vient des envies de toi
Comme si l’on m’avait jeté un sort

Quand je sens mon corps
Tout contre ton corps
La passion me dévore
J’en veux toujours plus et encore
Je deviens esclave de tes charmes
Et quand la passion est assouvie
Des mots tendres nous envahit
Tu serres mon corps
Tout contre ton corps
Et l’on regarde la nuit coucher
Avec le lever jour
Là où prennent vit nos rêves
Ceux de notre amour
n
17 novembre 2005 11:06
sensualité, amoureuse chevauchée


Jolie petite tigresse, feule plus fort
Il te suivra et voudra un corps à corps.
Tu sais, de tes reins souples l'envahir,
Il n'a qu'à se laisser par toi, séduire.

Vêtue de ta peau de bête,
Tu te sens prête pour la fête.
Attachant ses mains à des liens,
Tu joues, sur son corps félin.

Une caresse glisse sur son corps musclé,
Tu lui offre tes lèvres enflammées.
Goûtant , lèchant sa peau, pixel par pixel
Tu lui fais voir, toutes les étoiles du ciel.

Prenant le plaisir de l'effleurer,
Il se tord sous le plaisir masqué.
Mais,en belle tigresse affamée
Tu n'as pas fini de le savourer...

En soyeuses caresses tes cheveux dénoués,
Glissent doucement sur sa peau dorée.
Tes mains aventureuses cherchent des creux,
Il gémit, défaillant invoquant les cieux...

Alors, belle cavalière tu viens le monter,
Et , ta croupe veut l'emporter au sommet.
Il voudrait en sa bouche téter ton sein,
Tu l'enserre d'une seule main, il geint.

Mais, la fièvre s'empare d'elle en un instant
Ses doigts glissent partout , délicatement.
Il connaît l'incendie gémit, sans aucun répit
Son sexe en érection durci et reprend vie.

La belle s'achève dans une folle danse,
Son bel amant, connaît enfin la délivrance.
Dans un long baiser, elle prend ses lèvres
Alors doucement s'éteint, leur douce fièvre.
n
17 novembre 2005 11:09
essaie érotique....
Tel une abeille ardente à son ouvrage
Qui va de fleur dépouiller son rivage
Je vais de mes mains sur ton visage
Pour en peindre ton image.
Puis lentement d’une main hésitante
D’un désir extrême prolonger mon voyage
Dans les moindre recoin de ton corsage…
De l’autre hésitante j’ose l’aventure
Et sans aucune retenu m’aventure
Dans les délices humides aux parfums musqués
De ta plus grande intimité .
Des berges de ta source qui frémit
Un doigt indiscret s’enhardi
Tes lèvres tel une fleur au matin
A mes doigts malhabiles
S’ouvrent roses et fragiles.
Emplis de désirs
Tu soulèves le bassins
Je te sens frémir secouée de spasmes
Nous faisant jouir d’un mêmes orgasme
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook