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poèmes sensuels
B
24 juillet 2005 16:07
oh c'est trop beau sa
M
24 juillet 2005 16:08
Elvire aux yeux baissés

Quand le désir d'amour écarte ses genoux
Et que son bras plié jusqu'à sa bouche attire,
Tout à l'heure si clairs, si baissés et si doux,
On ne reconnaît plus les chastes yeux d'Elvire.

Eux qui s'attendrissaient aux roses du jardin
Et cherchaient une étoile à travers le feuillage,
Leur étrange regard est devenu soudain
Plus sombre que la nuit et plus noir que l'orage.

Toute Elvire à l'amour prend une autre beauté;
D'un souffle plus ardent s'enfle sa gorge dure,
Et son visage implore avec félicité
La caresse trop longue et le plaisir qui dure...

C'est en vain qu'à sa jambe elle a fait, sur sa peau,
Monter le bas soyeux et que la cuisse ajuste,
Et qu'elle a, ce matin, avec un soin nouveau,
Paré son jeune corps délicat et robuste.

La robe, le jupon, le linge, le lacet,
Ni la boucle ne l'ont cependant garantie
Contre ce feu subtil, langoureux et secret
Qui la dresse lascive et l'étend alanguie.

Elvire! il a fallu, pleine de déraison,
Qu'au grand jour, à travers la ville qui vous guette,
Peureuse, vous vinssiez obéir au frisson
Qui brûlait sourdement votre chair inquiète;

Il a fallu laisser tomber de votre corps
le corset au long busc et la souple chemise
Et montrer à des yeux, impurs en leurs transports,
Vos yeux d'esclave heureuse, accablée et soumise.

Car, sous le rude joug de l'amour souverain,
vous n'êtes plus l'Elvire enfantine et pudique
Qui souriait naïve aux roses du jardin
Et qui cherchait l'étoile au ciel mélancolique.

Maintenant le désir écarte vos genoux,
Mais quand, grave, contente, apaisée et vêtue,
Vous ne serez plus là, vous rappellerez-vous
Mystérieusement l'heure où vous étiez nue?

Non! Dans votre jardin, doux à vos pas lassés,
où, parmi le feuillage, une étoile palpite,
De nouveau, vous serez Elvire aux yeux baissés
Que dispense l'oubli du soin d'être hypocrite.
B
24 juillet 2005 16:10
Mectoubhalina a écrit:
-------------------------------------------------------
> Elvire aux yeux baissés
>
> Quand le désir d'amour écarte ses genoux
> Et que son bras plié jusqu'à sa bouche attire,
> Tout à l'heure si clairs, si baissés et si doux,
> On ne reconnaît plus les chastes yeux d'Elvire.
>
> Eux qui s'attendrissaient aux roses du jardin
> Et cherchaient une étoile à travers le feuillage,
>
> Leur étrange regard est devenu soudain
> Plus sombre que la nuit et plus noir que l'orage.
>
> Toute Elvire à l'amour prend une autre beauté;
> D'un souffle plus ardent s'enfle sa gorge dure,
> Et son visage implore avec félicité
> La caresse trop longue et le plaisir qui dure...
>
> C'est en vain qu'à sa jambe elle a fait, sur sa
> peau,
> Monter le bas soyeux et que la cuisse ajuste,
> Et qu'elle a, ce matin, avec un soin nouveau,
> Paré son jeune corps délicat et robuste.
>
> La robe, le jupon, le linge, le lacet,
> Ni la boucle ne l'ont cependant garantie
> Contre ce feu subtil, langoureux et secret
> Qui la dresse lascive et l'étend alanguie.
>
> Elvire! il a fallu, pleine de déraison,
> Qu'au grand jour, à travers la ville qui vous
> guette,
> Peureuse, vous vinssiez obéir au frisson
> Qui brûlait sourdement votre chair inquiète;
>
> Il a fallu laisser tomber de votre corps
> le corset au long busc et la souple chemise
> Et montrer à des yeux, impurs en leurs
> transports,
> Vos yeux d'esclave heureuse, accablée et soumise.
>
> Car, sous le rude joug de l'amour souverain,
> vous n'êtes plus l'Elvire enfantine et pudique
> Qui souriait naïve aux roses du jardin
> Et qui cherchait l'étoile au ciel mélancolique.
>
> Maintenant le désir écarte vos genoux,
> Mais quand, grave, contente, apaisée et vêtue,
> Vous ne serez plus là, vous rappellerez-vous
> Mystérieusement l'heure où vous étiez nue?
>
> Non! Dans votre jardin, doux à vos pas lassés,
> où, parmi le feuillage, une étoile palpite,
> De nouveau, vous serez Elvire aux yeux baissés
> Que dispense l'oubli du soin d'être hypocrite.
>

Oh ke c'est beau sa aussi mecthoubalina
B
24 juillet 2005 16:11
Bomsad2000 a écrit:
-------------------------------------------------------
> Mectoubhalina a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Elvire aux yeux baissés
> >
> > Quand le désir d'amour écarte ses genoux
> > Et que son bras plié jusqu'à sa bouche
> attire,
> > Tout à l'heure si clairs, si baissés et si
> doux,
> > On ne reconnaît plus les chastes yeux
> d'Elvire.
> >
> > Eux qui s'attendrissaient aux roses du jardin
>
> > Et cherchaient une étoile à travers le
> feuillage,
> >
> > Leur étrange regard est devenu soudain
> > Plus sombre que la nuit et plus noir que
> l'orage.
> >
> > Toute Elvire à l'amour prend une autre
> beauté;
> > D'un souffle plus ardent s'enfle sa gorge
> dure,
> > Et son visage implore avec félicité
> > La caresse trop longue et le plaisir qui
> dure...
> >
> > C'est en vain qu'à sa jambe elle a fait, sur
> sa
> > peau,
> > Monter le bas soyeux et que la cuisse ajuste,
>
> > Et qu'elle a, ce matin, avec un soin
> nouveau,
> > Paré son jeune corps délicat et robuste.
> >
> > La robe, le jupon, le linge, le lacet,
> > Ni la boucle ne l'ont cependant garantie
> > Contre ce feu subtil, langoureux et secret
> > Qui la dresse lascive et l'étend alanguie.
> >
> > Elvire! il a fallu, pleine de déraison,
> > Qu'au grand jour, à travers la ville qui
> vous
> > guette,
> > Peureuse, vous vinssiez obéir au frisson
> > Qui brûlait sourdement votre chair inquiète;
> >
> > Il a fallu laisser tomber de votre corps
> > le corset au long busc et la souple chemise
> > Et montrer à des yeux, impurs en leurs
> > transports,
> > Vos yeux d'esclave heureuse, accablée et
> soumise.
> >
> > Car, sous le rude joug de l'amour souverain,
>
> > vous n'êtes plus l'Elvire enfantine et
> pudique
> > Qui souriait naïve aux roses du jardin
> > Et qui cherchait l'étoile au ciel
> mélancolique.
> >
> > Maintenant le désir écarte vos genoux,
> > Mais quand, grave, contente, apaisée et
> vêtue,
> > Vous ne serez plus là, vous rappellerez-vous
> > Mystérieusement l'heure où vous étiez nue?
> >
> > Non! Dans votre jardin, doux à vos pas
> lassés,
> > où, parmi le feuillage, une étoile palpite,
> > De nouveau, vous serez Elvire aux yeux
> baissés
> > Que dispense l'oubli du soin d'être
> hypocrite.
> >
>
> Oh ke c'est beau sa aussi mecthoubalina
>

mais je prefere l'autre histoire sur le sable
r
24 juillet 2005 16:18
winking smiley

"Je m'offre en vert
Les bras ouverts
Le visage en l'air
Le torse offert
Je donne à tout
Mon corps en crépuscule
Ce damné amas de chair purulent..."


Et cette nuit je veux ne pas être au fond du trou
Je m'éveille les sens sous perfusions d'ivresses...
Regarder par delà les petites cuillères
La nuit
S'étale
Glisse
Dans les rues de la ville
De la place des fêtes
S'engouffrer
Rue de Belleville
Dévaler Ménilmontant
Et République...
Par Oberkampf...
Avaler le Père Lachaise
Et Bastille, plus bas
Après la Roquette...
Hop ! La ville sous la nuit.
Hop ! la ville sourit
On a beau faire
Les immeubles plus haut
Des tours sur la Place, la haut
Des murs de béton épais
Rien ne l'empêche de s'infiltrer
Chaque recoin, n'importe quel centimètre carré
Assailli...
Et que faire un tel soir
- je voulais vraiment ne pas
me laisser aller -
Comme un coup de téléphone un sourire...
La difficulté somme toute
Quotidienne
Ce n'est pas un jeu...
Je me suis trompé
Je songeais
Je songeais coi
Je songeais rester
Las sans écrire
Alors belles et douces choses
tendres phrases comme le sont
Les cuisses d'une femme jeune
Vierge ou presque
Écrire quand la main hésite
Encore puérile, se laisser aller
Plus loin
L'exploration de ses jambes
L'intérieur d'une peau douce
Ce feu brûlant
Entrejambe au sang bleu
Sexe magnifique
Les mains glisser
Autour de ses lèvres
Dessiner divers contours
Autant des lettres des mots
Inexprimables
N'écrire que son ventre chaud.
Sentir son odeur
Laisser la main audacieuse
Parcourir son visage propre
La respirer par deux fois.
La douce odeur.
L'âcre odeur de son sexe.

Luka Azel
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
M
24 juillet 2005 16:23
Le désir

Je sais la vanité de tout désir profane.
A peine gardons-nous de tes amours défunts,
Femme, ce que la fleur qui sur ton sein se fane
Y laisse d'âme et de parfums.

Ils n'ont, les plus beaux bras, que des chaînes d'argile,
Indolentes autour du col le plus aimé;
Avant d'être rompu leur doux cercle fragile
Ne s'était pas même fermé.

Mélancolique nuit des chevelures sombres,
A quoi bon s'attarder dans ton enivrement,
Si, comme dans la mort, nul ne peut sous tes ombres
Se plonger éternellement ?

Narines qui gonflez vos ailes de colombe,
Avec les longs dédains d'une belle fierté,
Pour la dernière fois, à l'odeur de la tombe,
Vous aurez déjà palpité.

Lèvres, vivantes fleurs, nobles roses sanglantes,
Vous épanouissant lorsque nous vous baisons,
Quelques feux de cristal en quelques nuits brûlantes
Sèchent vos brèves floraisons.

Où tend le vain effort de deux bouches unies ?
Le plus long des baisers trompe notre dessein;
Et comment appuyer nos langueurs infinies
Sur la fragilité d'un sein ?
s
25 juillet 2005 14:24
Qu'on soit des filles de
Cocktails, belles
Qu'on soit des filles des
Fleurs de poubelles
Toutes les mêmes
Qu'on soit des croissants de lune
Qu'on soit des monts de Saturne
Pour l'I.V.G. ou en bulle
Nous on a

On a besoin d'amour
On a besoin d'amour
Besoin d'un amour XXL
On veut de l'amour XXL

Qu'on soit des filles de
L'histoire, rares
Qu'on soit des filles des
Fleurs de trottoirs
C'est comme ça
Qu'on soit Paul en Pauline
Faire la une des magazines
Négatives ou positives
Toutes les filles

Elles ont besoin d'amour
On a besoin d'amour
Besoin d'un amour XXL
On veut de l'amour XXL

On a besoin d'amour
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On a besoin d'amour
Besoin d'un regard
De peau et de larmes
On a besoin d'amour
Besoin d'une flamme
Et de vague à l'âme
On a besoin d'amour
Besoin d'un regard
De peau et de larmes

(XXL mylène Farmer)
r
25 juillet 2005 16:28
J’ai faim de ton corps
De tes lèvres et de ta langue juteuse
Ma bouche rêve de savourer la tienne
De goûter ta peau
Sentir le parfum de ce corps delicieux
Mélangé à ta transpiration
J'ai faim de ton humeur coquine
De ton rire chaleureux
Et de ton sourire moqueur
J’ai faim de ton corps
Si tendre et appétissant
Faim de tes yeux
De ton regard charmeur et envoûtant
La douceur de ta peau
Eveille mon appétit
Le contact de ton corps
Déchire mon cœur brûlant
Brûlant d’un désir fort pour ta chair
Brûlant d’un envie irrésistible de te mordre
De te consommer !


xxx



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/07/05 16:33 par rifia1.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
25 juillet 2005 16:30
MON ENVIE DE TOI......

Mon envie de toi,
Mon envie de t'enlacer,
Me tourne autour
Ce que je veux c'est toi
Tu es merveilleux,tu es doux
Tu réalise mon rêve d'enfant
Tu deviens mon prince charmant
Lorsque tes bras m'enlacent
Lorsque les paroles me las
Je te veux encore plus
Tu hantes mes pensées, je ne peux plus me concentrer
Que sur toi,tout ce qui te concerne..
De près ou de loin, je le sais
Aucun jour ne passe
Sans que je pense à toi...

xxx
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
25 juillet 2005 16:33
J'ai tout simplement envie de toi
envie de te sentir
envie de partager mon corps avec toi
envie de te sentir me caresser avec tes mains si douces
envie de sentir ta bouche froler ma peau
envie de sentir ta langue titiller mes seins
envie de me donner a toi completement
envie que tu me penetres
envie de te donner tout de moi, tout simplement ....

xxx
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
A
29 juillet 2005 17:00
aZel luKa, c'est moi.
(Je suis toujours touché de voir mes textes se balader...)
r
29 juillet 2005 22:24
enchantée azel luka smiling smiley
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
A
30 juillet 2005 01:09
De même...
r
12 août 2005 08:33
Tu peux me prendre violement
mais ne joue pas au prince charmant
pour repartir en mentant.

Tu peux me tenir fermement
si tu n'es pas présent
le vide sera de suite trop évident
pour que je donne de mon temps.

Tu peux venir poliment
abuser de moi tendrement
Tu peux me retenir, pour avancer plus lentement.
Tu peux être libre et prudent.
Tu peux venir en tremblant.
Tu peux sourire et caresser
l'espoir d'un amour sans stresser.
Tu peux doucement nous enlacer
guider mon corps et nous bercer.
Tu peux me découvrir et me faire souffrir.
Tu peux me couvrir de baisers et me protéger.
Tu peux me montrer tes plaisirs
et m'apprendre à t'aimer.
Mais n'oublie pas que je t'attends.

Tu peux partir et revenir
oublier de m'appeler.
Mais alors je te ferai le pire
en amour : je te haïrai,
je te supplierai, je te quitterai.

Si tu veux…
Tu peux
revenir vers moi nous amuser
sans faire semblant de jouer.
Puis l'on verra si l'on pourrait s'aimer...
Tu peux
me rassurer, me dire que je n'ai pas à m'inquiéter
sans faire semblant de nous aimer
mais en croyant nous trouver
en attendant de nous dévoiler
en espérant nous compléter
en continuant, en liberté, en airs joyeux et en sourires,
nos discussions joliment enlevées.

Tu peux
risquer t'aventurer.
Quelques temps suffisent souvent pour tout se dire,
pour décider d'un avenir
ou préférer vite oublier...

Tu peux
me dire que tu ne veux pas réfléchir
que tu veux juste tenter...
Mais il faudra que tu m'apprennes
alors à dompter mes désirs
et à cacher mes peines.

Tu peux
tout contre moi revenir te blottir
et ne rien dire.
Juste nous aimer
et en rire.

xxx
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
17 août 2005 10:43
Cuando fuiste novio mio
por la primavera blanca,
los cascos de tu caballo
cuatro sollozos de plata.

Lorsque nous étions fiancés
dans la blancheur du printemps,
les sabots de ton cheval
étaient des sanglots d'argent...

Amour, amour.
entre mes cuisses serrées
le soleil nage comme un poisson.
Eau tiède entre les joncs,
amour.
Coq, attention, la nuit s'en va !
Non, qu'elle ne parte pas !..

Offre les melons noirs de tes seins
à la rumeur de la messe...

Comme un encensoir plein de désirs,
tu passes dans le soir, lumineuse et claire
montrant ta chair obscure de nard flétri
et la puissance sexuelle de ton regard...

Des draps blancs pour t'évanouir !..

Comme les calmars,
tu aveugles, nue, de ton encre parfumée...

Ta chair a cherché sur ma carte
le jaune de l'Espagne...

… j'ai recouvert ton corps
de la cape de mon talent...

Dans les yeux de la religieuse
galopent deux cavaliers.
Un soupir ultime et sourd
décolle sa chemise…


Frederico Garcia Lorca



Modifié 1 fois. Dernière modification le 17/08/05 10:43 par rifia1.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
24 août 2005 14:00
l'acte amoureux

La lueur de la lune éclaire ta peau
Et sous cet douce brume j'écoute tes mots
Tes mots d'amours si doux a mes oreilles
Des mots de velours au goût de merveille

K'elle douce nuit auprè de toi mon amour
K'elle immense envi de l'immortalisé pr tjr
Par cet nui chaude d'été, empli d'étoile
Tu ma lentemen désabillé de mon voile

Nos coeurs battaient à l'unisson,
Et nous ne rêvions que de nos corps en union Une union parfaite est merveilleuse
De deux personnes folles amoureuses

Cette union ce fit cette nuit même
Tout cela semblait naturel...
Nous nous aimions de tous nos coeurs
Nos coeurs empli d'un immense bonheur

Kan un peu plus tard j'ai finalement appris
Que de cette nuit d'amour intense
Notre union avait conçut une nouvelle vie
Notre joie fut à tt deux encore plu immense

Notre amour était à jamais scellé
Par cette nouvelle vie tellement attendu
Plus tard on se marierait
Et vivrons tout les trois a corps perdu

love_me

[love-me1701.skyrock.com]

winking smiley
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
o
24 août 2005 14:30
une chanson pour mekka, c la plus vendue au marché maintnant
www.downloads.uaedreams.com/aziz/uploading/ya%20makkah.mp3
r
24 août 2005 14:34
tu ne te serais pas trompé de post optimal ? winking smiley


super ce nasheed winking smiley jlaconnaissai pas



Modifié 1 fois. Dernière modification le 24/08/05 14:34 par rifia1.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
o
24 août 2005 14:40
trompé ds l'eau

lah y3tik shi hejja.
r
24 août 2005 14:43
winking smiley amine wa jami3 lmouslimine
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
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