Entends les nuages au mitan d'une fille Lorsque de ses seins océans il te parvient Le son de la terre et, qu'entendant ses trilles Un théorème de l'amour justifie ses reins
Vois les notes sur le ventre de la dame Lorsque de ses lèvres il te murmure Le cri de soie et que, tirant des larmes Une théorie du désir alors te rassure
Respire le futur dans les yeux de l'amante Lorsque de ses souffles frais il te ricoche Des fragrances miel et que, suivant la sente Un humanisme de jouissance te décoche
Sent les grains de peau de la sensuelle Lorsque de ses hanches feu il te houle Le plaisir exact et, qu'effleurant la voyelle Une folle philosophie de vie en découle
Savoure l'espace dans le cou de l'égérie Lorsque de ses mains douces il te pénètre La saveur de vie et que, fouinant sa prairie Une hypothèse retrouvée te fait renaître
Bruno BOULAIS
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
je suis un pauvre jardinier qui aime la beauté arrose les fleurs les nuits chaudes de l'été Fleurs noires, fleurs d'or et fleurs de miel je leur donne de l'eau du soleil et le ..ciel
doigts aggripés aux doigts souffles brulants regards caressant regard, mouvements lents et sur de tendres collines qu'écrase la volupté je sens du feu dans le sang, la joie et la santé
voilà ma contributiion, euh en fait c'est pas fini, il manque une strophe, mais je finirai ça plus tard en éditant le message
Écoute... Dans le silence de ma voix J'entends les battements de ton cœur Écoute... Dans la chaleur de ta voix Perçois-tu de ma peau la douceur
Drape-toi de mon souffle vigueur A l'envol du goéland libre et sensible Pare-moi de ta voix aux sons vainqueurs Tu atteins, précise, le cœur de ma cible
Blottis dans mes jeux tendresses Jeux de mots, jeux de do, jeux de dos Ose soupirer de tes mains caresses Explorant toutes lignes de ma peau
Endors-toi à l'ombre de mon désir En lisant le message des étoiles Éveille-moi au soleil de tes plaisirs De mon souffle, je gonflerai la voile
Dépose-toi à l'épiderme de l'origine Frissonne alors, artificière aimante Ne démine pas cette sensuelle mine Au creux de cette fusion frémissante
Donne-moi tes mots de folie vibrante Poème de gestes tendres, de silence Réchauffe mon dos de soierie criante T'offrant la sincérité de mes stances
Bruno BOULAIS
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Te souvient-il, ma charmante maîtresse, De cette nuit où mon heureuse adresse Trompa l'Argus qui garde tes appas ? Furtivement j'arrivai dans tes bras. Tu résistait ; mais ta bouche vermeille A mes baisers se dérobait en vain ; Chaque refus amenait un larcin. Un bruit subit effraya ton oreille, Et d'un flambeau tu vis l'éclat lointain. Des voluptés tu passas à la crainte ; L'étonnement vint resserrer soudain Ton faible coeur palpitant sous ma main ; Tu murmurais ; je riais de ta plainte ; Je savais trop que le dieu des amants Sur nos plaisirs veillait en ces moments. Il vit tes pleurs ; Morphée, à sa prière, Du vieil Argus que réveillaient nos jeux Ferma bientôt et l'oreille et les yeux, Et de son aile enveloppa ta mère. L'Aurore vint, plus tôt qu'à l'ordinaire, De nos baisers interrompre le cours ; Elle chassa les timides Amours : Mais ton sourire, peut-être involontaire, Leur accorda le rendez-vous du soir.
Ah ! si les dieux me laissaient le pouvoir De dispenser la nuit et la lumière, Du jour naissant la jeune avant-courrière Viendrait bien tard annoncer le Soleil ; Et celui-ci dans sa course légère Ne ferait voir au haut de l'hémisphère Qu'une heure ou deux son visage vermeil. L'ombre des nuits durerait davantage, Et les amours auraient plus de loisirs. De mes instants l'agréable partage Serait toujours au profit du plaisir. Dans un accord réglé par la sagesse, A mes amis j'en donnerais un quart ; Le doux sommeil aurait semblable part, Et la moitié serait pour ma maîtresse.
Voici le cabinet charmant où les grâces font leur toilette. Dans cette amoureuse retraite j' éprouve un doux saisissement. Tout m' y rappelle ma maîtresse, tout m' y parle de ses attraits, je crois l' entendre, et mon ivresse la revoit dans tous les objets. Ce bouquet, dont l' éclat s' efface, toucha l' albâtre de son sein ; il se dérangea sous ma main, et mes lèvres prirent sa place. Ce chapeau, ces rubans, ces fleurs, qui formoient hier sa parure, de sa flottante chevelure conservent les douces odeurs. Voici l' inutile baleine où ses charmes sont en prison. J' aperçois le soulier mignon que son pied remplira sans peine. Ce lin, ce dernier vêtement... il a couvert tout ce que j' aime ; ma bouche s' y colle ardemment, et croit baiser dans ce moment les attraits qu' il baisa lui-même. Cet asile mystérieux de Vénus sans doute est l' empire. Le jour n' y blesse point mes yeux ; plus tendrement mon cœur soupire ; l' air et les parfums qu' on respire de l' amour allument les feux. Parois, ô maîtresse adorée ! J' entends sonner l' heure sacrée qui nous ramène les plaisirs ; du temps viens connaître l' usage, et redoubler tous les désirs qu' a fait naître ta seule image.
...Pendant que je me tords sur mon axe viril Comme Saint Laurent sur son gril : - O femme! Qui dira la foule involontaire Des pucelles qu'on fait moisir? Qui dira les doigts blancs dont l'effort solitaire Gratte l'écorce du plaisir?
Clitoris sans amour des vierges par devoir, Muqueuses en rut, coeurs en peine, C'est pour vous que j'agite et que je fais pleuvoir Ce qui vous manque et qui me gêne. ...Car j'ai votre idéal, si vous avez le mien! Venez. Prenez : c'est votre bien...
... J'ai la liqueur et vous le vase... Vous tendez votre coupe à mes deux échanssons. Moi généreux et vous avide : Fête longue et vins chauds! A nos santés versons Mon trop plein dans votre trop vide !
* Rythme bien ton ardente caresse Au gré de mon balancements, O mon âme... Lentement, Prolongeons l'instant d'ivresse.
Là... Vite! Plus longtemps ! Je fonds ! Attends, Oui, je t'adore... Va ! va ! va ! Encore. Ha !
Viens, vole donc vers moi, viens-t’en me retrouver Dans la chaleur pékin de mes draps de satin Que je me fonde en toi, à tes vapeurs musquées Viens, que je donne tout, de mon front à mes reins Ma fougue à te prendre, vouloir te posséder Seulement cette nuit, juste en cet éphémère Me savoir toute à toi, par nos corps fous alliés Discrédite la fée, rappelle la sorcière De cruel sortilège en sauvages sursauts Je propose en lampées comme ultime sursis Mes philtres enjôleurs dégouttant sur ta peau Tu n’auras de repos, pas plus que de répit ! Je prends dans ma bouche ton membre turgescent Orgueilleux de l’envie qui paraît à tes joues L’aspire goulûment, savourant pleinement Le suc de ta sève qui se gicle à mon cou Reprends ton souffle, viens, à toi de m’envoûter Reprends tournure en moi, tel un vaillant soldat Mais avant, mon amour, laisse-toi donc glisser Au naissant de ma source, puise ton eau de là Mouille-le de ta soif, lubrifie mon tunnel Offre à ces lèvres-ci une tendre lichette Fourre-moi à l’envi d’un trait consensuel Que croisse mon désir, et que je sois fin prête Gaillard, ressaisis-toi, plonge vite en mon antre Excite-moi encore en furieux va-et-vient Et fais-moi onduler du haut jusqu’à mon ventre Que naisse la souffrance à ce qu’on voulait bien Du frisson de l’extase aux transes de l’orgasme Je franchis une à une, les marches du plaisir Je subis tes assauts, jusqu’au plus fort marasme Je feins mille doux leurres, je crains de défaillir Je parais assouvie, mais je t’en redemande Mon corps sur toi compose un rock’n’roll fiévreux Tu cèdes au classique en aubade gourmande Jouant tous les accords de l’instrument à queue C’est ton tour de gémir en longs râles plaintifs Quand tu signes la paix, et que tu capitules Nos abandons limites, nous font plus morts que vifs Mais ton sperme nous lève, dès que tu éjacules ! Nous voici à l’entente, égaux, nous fusionnons A la petite mort pénétrant nos délices Et la jouissance que nous nous confirmons N’aura d’autre visée, que d’ordonner un ... bis !
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inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
rifton75 a écrit: ------------------------------------------------------- > rifia1 a dit > > Viens, vole donc vers moi, viens-t’en me retrouver > > Dans la chaleur pékin de mes draps de satin > > > > c a moi ke tu parles
non je croit pa ke c est a toi retourne chii toi el basel lool sircouli y a rien avoir avec vos 3winettes loool
Tu t'es agenouillée sur mon corps allongé Et tu as deposé tes lèvres sur les miennes
Un, deux, trois baisers. Puis tu t'es relevee Et nos regards se sont croises Un instant Le menton Le cou Oui !!le cou Tu sais comme j'aime ca.
Un premier soupir.
Mes bras se referment. Mes mains se deposent sur toi Je perds la tête Deja tes bras se sont refermés Autour de moi Tu te relèves Une pause Deux regards se croisent Deux sourires se repondent Un baiser Encore Encore Encore Une etreinte Mes mains se deplacent Circulent Tes cheveux Ta nuque Ton dos Continuer Que cela dure comme une eternite Vient Les jambes se croisent Les corps s'encastrent Les levres se quittent La danse commence
Un deuxieme soupir
Oui. comme ca Un baiser dans le cou Un autre Un autre Tes mains dans mes cheveux Tes lèvres a mon oreille Un baiser en je t'aime
Un troisieme soupir
Continuer Ne rien changer Continuer Encore Encore Encore
Jusqu'au dixieme soupir
Au centieme soupir Continuer Jusqu'a ce que nos corps repus tombent et se fondent en un dernier soupir...
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inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim