Et c'est moi que hésite, ……………….alors que tu m'appelles ……………….de la couche ou tu gîtes ……………….alanguie et si belle, aspergée de désir ……………….Verbe excitant la Chair, ……………….tu appelles le plaisir ……………….que tu ne peux plus taire
……………….car tu sais qu'il existe ……………….même sans l'avoir connu. ……………….Et c'est moi qui hésite ……………….devant la beauté nue, de ces yeux qui m'invitent ……………….de ces seins qui implorent ……………….de cette toison d'or ……………….pudique qui incite
……………….la bouche et plus encor, ……………….pour de parfaits accords ……………….qui subliment et apaisent. ……………….Or, tel un feu mourant sur le plaisir des braises ……………….je repousse l'instant ……………….de la métamorphose ……………….où ta chair sous ma chair
……………….en de sublimes poses oubliera le désert. ……………….Je repousse l'instant, ……………….délices et tourments, O, sublime supplice ……………….d'être ton amant, ……………….d'aller boire au calice la source de tes vingt ans.
……………….Car lorsque tu seras ……………….devenue ma maîtresse ……………….un beau jour tu diras ……………….adorable traîtresse, "j'ai deux amours depuis toujours, l'un existe déjà, l'autre arrive là bas".
j'ai pénétré tes nuits et ton rêve m'a dit tes bleus de métylène ou ton rouge organdi, tu as décrit le temps au bout de ton message, ni passé ni présent, on traverse un passage. . je me souviens du jour, c'était un samedi, les portes du possible ouvraient le paradis et même étant enfant, même en étant très sage, jamais je n'ai vécu un tel atterissage. . j'ai découvert un monde où rien n'est interdit, il suffisait d'aimer pour n'être plus maudit et connaitre l'émoi, un autre apprentissage en caressant tes seins sous ton tendre corsage. . Je me suis fait voyou, voleur ou bien bandit pour goûter à ta bouche un doux baiser candi en mélant notre amour, unique métissage, nos âmes chaude laine en ultime tissage. . Tu m'as sauvé ma belle et je reste étourdi moi qui jadis étais un fantôme engourdi, un sauvage animal impossible au dressage, je te sens frissonner sous mes galants massages
Embrasse-moi, embrasse-moi encore et encore : donne m'en un de tes plus savoureux donne m'en un de tes plus amoureux je t'en rendrais quatre plus chauds que braise.
Las, te plains-tu ? Viens, que j'apaise ce mal en t'en donnant dix autres encore plus doux Ainsi mêlant nos baisers si heureux jouissons l'un de l'autre à notre aise.
Alors chacun de nous aura une double vie chacun vivra en soi et en son ami Laisse-moi, Amour, imaginer quelque folie :
je suis toujours mal, car je vis repliée sur moi, et ne puis trouver de satisfaction Sans me ruer hors de moi-même.
prends mes poignets d'une main et serre les d'un lien.
je lis dans tes yeux ton envie de me sentir a ta merci plus je veux t'echapper, plus je bouge, plus tu languis ton regard me convoite, tu deviens predateur ton sourir provoquateur m'inspire inquietude et frayeur. serre moi fort! attise toutes les parcelles de mon corps calme mes premiers soupirs d'impatiente et crainte melés par un long baiser passionné.
brutalement tu dechires un a un mes vetements qui entravent ton besoin de m'admirer nue, animal sauvage plus je dit non, plus tu souris ironiquement fais moi l'amour sans menagement.
Dans mon rêve On s’est bandé les yeux pour savourer Chacun de nos désirs inavoués Dans mon rêves On s’est bouché les oreilles pour sentir Nos cris, dans la nuit, s’unir. Dans mon rêve, La nuit était, comme celle-ci, chaude… Nos corps allaient s’explorer jusqu’à l’aube.
Dans mon rêve ta chaleur embrasait tous mes orifices Avant même que tes doigts ne pianotent mon clitoris… Avant même que ta langue n’humecte mon sexe humide Ta chaleur rendait mes lèvres avides. Avant même que tes dents n’agressent mes fesses Ta chaleur m’assujettissait sans cesse
Je veux tel dans mon rêve Que tu goûtes à mes sens en éveil A mon sexe humide A mes lèvres avides A ma sensualité anale Avec une douceur brutale Je veux sentir ta langue Glisser le long de mes jambes De ma nuque à mon dos Enflammer ma peau Glisser entre mes fesses Et me tenir en laisse
Je veux pour me rebeller contre cette torture exquise Qui embrase mon corps et l’attise Aspirer entre mes lèvres ta verge Dont la dureté m’interpelle J’approche et du bout de ma langue je l’harcèle J’en peux plus je vais aspirer ton pénis entre mes lèvres Comme dans mon rêve De ta main agrippée sur mes cheveux Tu rythmes la fréquence de mon jeu Je soumets à une douce torture ton prépuce Lorsque ainsi je le suce Tu es à quelques secondes d’exploser Mes oreilles abusées Ne peuvent entendre tes soupirs Je ne sens que mon plaisir Et ce plaisir m’aveugle comme dans mon rêve Lorsque de toi jaillit cette douce sève
J’ai inspiré ton sadisme Sans romantisme Tu déstabilises maintenant de ta langue frétillante Chaude et même brûlante Mon sexe médusé Tu me pénètres de cette langue aiguisée Je laisse échapper les cris de plaisir Que tu m’inspires
Soudain se mêlent mal et plaisir malsain Lorsque tu me pénètres enfin Avec ta verge profondément Ton va et vient effréné en devient dément J’hurle et tu n’entends rien Je m’agrippe à toi, rien Rien que ce plaisir intense Que rien n’offense Même pas lorsque tu changes d’orifice Pour tenter celui du vice Avec une douceur alarmante Douce, lente, lente…
D’un souffle aussi doux que la soie Tu parcours mon corps livré par toi A l’ultime traversée Vers un ciel inexploré…
J’ai faim de ton corps De tes lèvres et de ta langue juteuse Ma bouche rêve de savourer la tienne De goûter ta peau Sentir le parfum de ce corps delicieux Mélangé à ta transpiration J'ai faim de ton humeur coquine De ton rire chaleureux Et de ton sourire moqueur J’ai faim de ton corps Si tendre et appétissant Faim de tes yeux De ton regard charmeur et envoûtant La douceur de ta peau Eveille mon appétit Le contact de ton corps Déchire mon cœur brûlant Brûlant d’un désir fort pour ta chair Brûlant d’un envie irrésistible de te mordre De te consommer !
Les bougies éteintes par notre passion Nos yeux se fouillant, cherchant raison Sentant ton souffle contre ma peau Et l’air, se faisant de plus en plus chaud
Ton odeur éveillant mes sens Provoquant en moi un plaisir immense Tes lèvres contre les miennes Ton âme s’évadant, oubliant la peine
Tes mains glissant sous mes vêtements Oubliant ce qui était pudeur auparavant La lune laissant entrevoir nos ombres nu Nos regards se croisant, comme deux amants déchus
Ma personne prit de doux tremblements Ma voix, poussant un fébrile gémissement Tes yeux survolant l’ensemble de mon être Dans ton sourire, une flamme venait de naître
Puis tes bras m’enlaçant avec virilité M’emportant sous les couvertures entremêlées Sous les draps où baiser rime avec tendresse Où mes doigts, en toute liberté effectuèrent leurs caresses
Sentant que la démence s’empara de notre sang Objet de mon désir, étant à moi durant un instant Laissant mon corps se plier à ma déraison Dans une parfaite harmonie et un amour profond
Les morceaux de linge volèrent sur le plancher frisquet Nos corps se réchauffant, nos oreilles faisant les guets Attentifs au moindre gémissements Exécutant la grâce de chaque mouvement
Ton corps musclé ruisselant de sueur Ployant sous les efforts qui faisais battre ton cœur Tout doucement, tu me caressas les cheveux Pour me permettre de souffler un peu
Nos respire haletant après l’atteinte du paradis Ton âme m’aillant enfin donné preuve de vie Nous nous endormirent enlacés Nos cœurs s’unissant dans l’obscurité
Finissant la nuit en rêvassant et rempli d’espoir Que dans mes rêves je puisse tout revivre et te revoir Mes espoirs me montrant l’étendu de ce que nous vivions Et nous nous endormirent avec l’image de ce que nous faisions
Arrivé dans la chambre Tu me déshabilles du regard Uniquement du regard Je m’approche et te déshabille Sans parler sans bouger Tu fermes tes yeux et te laisses faire J’ éteind la lumière et te prend par la main T’étends sur le lit et m étend près de toi Je ferme les yeux et tu rouvres les tiens
Ton souffle se fait saccadé Doucement ta main glisse sur mes jambes découverte Remontes doucement ton autre main a mon cou Caresses ma nuque humide soudain il fait chaud très chaud ! tu m arraches ma robe et nue pres de toi J’ ouvre les yeux Tu me souris et me dit :
N aie pas peur alors je referme mes yeux et me laisse faire Allonger sur moi tes carresse se font de plus en plus Douce et intime Sur ma poitrine tes mains se sont posées délicatement Sur mes levres doucement se sont glissé les tiennes Et corps contre corps
Nous débutons cette chevauché unique Qui ne sera la première ni pour toi ni pour moi Mais qui sera notre première fois ensemble...
Je voudrais sauver cette distance, Cet abîme mortel qui nous divise, Et m'enivrer d'amour avec le parfum Mystique et pur que ton être dégage.
Je voudrais être un des liens Avec lesquels tu décores ton visage rayonnant ; Je voudrais, dans le ciel de tes bras, Boire la gloire que dans tes lèvres tu as !...
Je voudrais être mer et que dans mes vagues Tu viendrais te baigner, Pour pouvoir, comme j’ai rêvée à ton visage, Et en même temps pour ainsi t'embrasser.
Je voudrais être toile, et dans ta poitrine, Là dans les ombres, avec ardeur te couvrir, Trembler avec les tremblements de ta poitrine, Et mourir de plaisir de t'avoir collé a moi.
!oh ! Je voudrais beaucoup plus !... Je voudrais t'amener en moi, comme un nuage, le feu ; Bien plus non, comme le nuage dans sa carrière, Pour exploser et nous séparer ensuite !...
Je voudrais en moi même te confondre, Confondre dans mon être et t'abriter ! Je voudrais en parfum pouvoir te convertir, Oui te convertir en parfum et pouvoir t'aspirer.
Aspirer dans une haleine comme essence, Et unir mon corps à ton corps, Et unir mon existence à ton existence, Et unir mes sens a tes sens. Aspirer dans une haleine d'atmosphère, Et verser ainsi sur ma vie le calme Et toute la flamme de ma poitrine ardente, Et de tout l'éther de ce qui est bleu de ton âme.
Aspirer, femme... Et de toi me remplir. Et en aveugle et sourd et muet me constituer, Et en aveugle et sourd et muet me consacrer À la délice suprême de te sentir Et de ce suprême amour pouvoir t'adorer...