Alors que depuis l’année dernière, le royaume fait des pieds et mains pour relever le tourisme, l’un des secteurs clés de l’économie nationale, une étude montre que, malgré tous les programmes récemment mis en œuvre, les acteurs négligent les marchés prometteurs. Détails.
Après une année 2012 morose, le trafic aérien semble reprendre des couleurs, mais présente une évolution en dents de scie au premier trimestre de l'année en cours. Optimiste, le ministère de tutelle souhaite prendre l’aérien en main et entend déployer une stratégie permettant à chaque région d’avoir sa propre desserte.
Liberté, indépendance financière ou caprices, seraient de possibles raisons expliquant l’engouement des Marocaines riches pour les casinos. Mais les autres femmes aux bourses moyennes jouent également non pas dans ces lieux de fortunés mais dans les bureaux de la Loterie nationale et la Marocaine des jeux et des sports.
2013 débute en dents de scie. Parfois les arrivées de touristes grimpent, parfois elles dégringrolent. Mais le ministère de tutelle reste optimiste, comptant sur la «stratégie d'attaque» qu'il déploira tout au long de cette année.
Le Forum Economique mondial vient de publier son rapport 2013 sur la compétitivité touristique. Et d’après les résultats, le Maroc s’améliore, même si certains aspects indispensables pour son attractivité et sa compétitivité sont encore loin des standards internationaux. Pour sa part, le ministre du Tourisme, Lahcen Haddad, estime que «chacun doit assumer ses responsabilités».
Le tourisme, au Maroc, peine à reprendre des couleurs. L'un des maillons les plus importants du secteur, la Royal Air Maroc, n'est toujours pas au sommet de sa performance. Son ministère de tutelle remet en question sa stratégie depuis la crise de 2011.
Accusé à tort comme l’un des auteurs présumés des attentats terroristes du 11 mars 2004 à Madrid, Mohamed Haddad, était en grève de la faim à Sebta depuis décembre 2009, pour obtenir l'asile politique en Espagne. Ses moyens de pression ont été vains, puisqu’il a été reconduit vers le Maroc, vendredi dernier, a rapporté El Pais.
Mohamed Haddad, le Tétouanais de 42 ans qui avait demandé en juin dernier l’asile politique en Espagne, a entamé à Sebta, une grève de la faim pour obtenir gain de cause, annonce l’agence de presse Espagnole EFE. Une situation confirmée par des sources gouvernementales dans l'enclave espagnole.
Mohamed Haddad, un Tétouanais de 42 ans, identifiés à tort par les autorités espagnoles comme l'un des auteurs présumés des attentats terroristes du 11 mars 2004 à Madrid, et détenu par la police marocaine durant 45 jours, a demandé d'après El Pais, l'asile politique en Espagne à la suite de prétendus harcèlements des services secrets marocains.