Depuis les avertissements de Moody’s en 2014, l’agence de notation ne s’était plus exprimé au sujet de l’économie marocaine. Dans un rapport fraichement publié, elle salue les réformes de la caisse de compensation, estimant que les faibles prix du pétrole et le plan solaire sont des atouts pour le gouvernement.
Les secrétaires généraux du PPS et de l'USFP montent au créneau et réclament une révision constitutionnelle. Les deux leaders politiques se font l’avocat d’un gouvernement exclusivement politique où les technocrates n'auraient plus le droit de cité. Tout cela n’est bien entendu pas dénué de calcul politicien.
En 2011, Yabiladi réalisait un dossier sur l’histoire de l’immigration en France et son enseignement. Un constat relativement positif qu’il faut aujourd’hui nuancer au regard des nouveaux programmes du collège qui s’appliqueront à la rentrée prochaine.
En matière d’éducation, le Maroc est encore à la traine. Mais selon une nouvelle étude de l’OCDE, le royaume peut radicalement booster sa croissance économique au cours des prochaines décennies, si les enfants âgés jusqu’à 15 ans sont tous scolarisés et acquièrent tous les connaissances de base.
La Caisse de compensation au Maroc a été source de beaucoup de «soucis» pour le gouvernement ces dernières années. La réforme engagée par le gouvernement lui permet de faire des économies conséquentes, lesquelles ont avoisiné les 9 milliards en 2014. Mais d’après l’économiste Najib Akesbi, la réforme actuelle n’est pas à la hauteur des engagements de l’Etat. Interview.
Après la sortie médiatique de l’Office des changes vendredi dernier, on ne retient qu’une chose, le Maroc se dirige vers une profonde réforme de son régime de change, après le succès de la contribution libératoire. Explications.
De la vague du «Printemps arabe» qui avait amené des formations islamistes arabes au «pouvoir», il ne reste que le PJD, encore à la tête d’une coalition gouvernementale. Une réussite qui suscite un intérêt particulier dans la région. Au Forum de Davos, Benkirane a tenté d’expliquer les ingrédients de la recette marocaine.
La peinture et la sculpture ont été historiquement des arts méconnus pour la civilisation islamique. Michel-Ange a donné naissance à la Création d’Adam et à la statue de David qui restent des œuvres religieuses magistrales en occident, mais sans égal auprès des musulmans. C’est à cause de certains Hadiths que la représentation picturale a été bannie, et ce peu importe son sujet. Lorsque
Il ne se passe pas un jour au Maroc sans qu’ait lieu quelque part une petite manifestation. Au printemps, le sociologue Abderrahmane Rachik publiait une étude révélant l’explosion du nombre de manifestations au Maroc depuis 2005. Aujourd’hui Frédéric Vairel, chercheur au Centre Jacques Berque à Rabat, revient sur le sujet avec son ouvrage «Politique et mouvements sociaux au Maroc», publié en novembre. Il explique