Le secrétaire général de l’ONU révise sa position sur la question du Sahara occidental. Ban Ki-moon qui s’est montré favorable à l'élargissement de la mission de la Minurso à la surveillance des droits de l’Homme au Sahara se voit obligé de garantir à Mohammed VI que le mandat des casques bleus restera inchangé.
Le ministère des Affaires étrangères est à nouveau la cible d’une opération de piratage. Un document sur des entretiens entre Omar Hilale et Christopher Ross, a été exfiltré sur Twitter par le désormais fameux Chris Coleman. Détails de la conversation.
Même si Christopher Ross n’a effectué aucune tournée dans la région en 2014, le Conseil de sécurité devrait examiner le dossier du Sahara le 27 octobre. Une réunion que Ban Ki-moon qualifiait, dans son dernier rapport, de cruciale. Avant la tenue de ce rendez-vous, les Nations-Unie et le Polisario attendent avec impatience le discours de Mohammed VI prévu le 10 octobre devant les deux Chambres du parlement.
Alors que le ministre algérien des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, évoquait avec son homologue américain, John Kerry, la question du Sahara, un responsable du Polisario tenait un point de presse à Alger. Et Mohamed Salem Ould Salek n’y est pas allé de main morte en accusant le conseil de sécurité de «complicité» avec le Maroc «pour maintenir le statu quo».
L’ambassadeur du Maroc aux Nations-Unies a révélé certains détails à l’origine du blocage du processus des négociations sur le dossier du Sahara occidental. Pour Omar Hilal, le secrétariat général de l’ONU assume une responsabilité dans cet enlisement. Explications.
Endossant le rôle du service de communication des Nations-Unies, le Polisario annonce une probable visite de Christopher Ross dans la région. S’agit-il là d’une riposte des amis de Mohamed Abdelaziz aux rumeurs diffusées par des médias marocains avançant une possible démission de l’Américain de son poste ?
C’est la dernière ligne droite. Mardi prochain, le Conseil de sécurité devrait adopter une nouvelle résolution sur le Sahara, prolongeant pour une année supplémentaire le mandat de la Minurso. Début mai, Christopher Ross est appelé à entamer les préparatifs d’une énième tournée dans la région. Il a six mois devant lui pour réaliser quelques progrès.
Christopher Ross n’est, semble-t-il, plus le bienvenu au Maroc. Le roi Mohammed VI ne le reçoit plus depuis bien longtemps. Et lors de sa dernière escale marocaine, le médiateur onusien n’a eu comme seul interlocuteur, le secrétaire général des Affaires étrangères. Détails.
Passage mouvementé de Christopher Ross chez le Polisario. Le médiateur américain a constaté sur le terrain la protestation qui sévit dans le «camp Smara» mais il a refusé de se réunir avec des représentants des manifestants.
C’est parti pour une nouvelle tournée régionale de Christopher Ross, initiée depuis l’Algérie. Aujourd’hui, le médiateur américain est chez le Polisario au moment où des jeunes des camps observent un sit-in devant le siège du HCR. Il souhaite convaincre l'Algérie de laisser le Polisario négocier seul avec le Maroc.