Il a fallu des années à la France et à l’Espagne pour se mettre d’accord sur le partage du Maroc. Des négociations conclues le 27 novembre 1912 par la signature du traité de Madrid. Toutefois, ce résultat était menacé par l’entrée de nouveaux acteurs politiques qui voulaient à tout prix leur part du gâteau de «la question marocaine».
En l’absence d’une réaction officielle des autorités algériennes expliquant à son opinion publique le contexte de la nomination d’un nouvel ambassadeur en Espagne, un média algérien s’est empressé d’accuser le Maroc de tenter de torpiller la «réconciliation» entre Alger et Madrid.