«La punition» de Tahar Ben Jelloun revient sur une période sombre du prix Goncourt franco-marocain, un service militaire forcé, en 1965, suite aux manifestations étudiantes un peu partout dans le royaume.
Les relations maroco-françaises sont toujours grippées. Tahar Ben Jelloun livre sa potion pour un retour à la normale, d’avant l’affaire Hammouchi. Il conseille au président Hollande de rendre visite au roi Mohammed VI afin de résoudre tous les problèmes. Pour le moment, le remède élaboré par l’écrivain a peu de chance de venir à bout des causes de la crise. Aujourd’hui, un quotidien proche
Alors que tout le monde redoute, voire attend que le Maroc soit à son tour balayé par les vagues d’émeutes qui secouent le Maghreb, Tahar Ben Jelloun lui est de tout autre avis. Pour l’écrivain franco-marocain, le Maroc d’aujourd’hui «n’a rien à voir» avec ce qui se passe en Tunisie et qui hante l’Algérie. Le Maroc pouvait être concerné s’il agissait encore du temps «des
Suite à la lettre de Tahar Ben Jelloun (à lire sur lemonde.fr), adressée au Président de la République, Bouchta Jebli, journaliste-fellah a décidé, lui aussi de prendre position sur les récentes déclarations de Nicolas Sarkozy. Nous avons eu le courage de publier sa lettre en intégralité, mais n'avons pas la témérité d'en assumer la responsabilité.