C'était un grand coup : l'arrestation de 27 personnes soupçonnées de terrorisme et la prise d'armes près d'Amghala, annoncés cette semaine par le ministère de l'Intérieur, n'ont rien d'anodin. Mais certaines informations, surtout sur l'emplacement des caches d'armes, ont porté à confusion. En territoire contrôlé par le Polisario ou pas ? Comme d'autres médias, nous avons été induits en erreur,
Après avoir passé plus de deux ans dans les prisons espagnoles, le Maroco-Belge, Ali Aarrass est finalement extradé vers le Royaume. Il est soupçonné par le Maroc d’être impliqué dans le réseau de Belliraj, accusé de terrorisme.
Un total de dix personnes, parmi eux des Marocains, ont été simultanément interpellées ce mardi en Belgique, Allemagne, et aux Pays-Bas, pour des liens présumés avec le terrorisme. Leur arrestation fait suite à une enquête ouverte en 2009, et qui aurait notamment permis d’écrouer des suspects au Maroc, selon un communiqué du Parquet fédéral belge (PFB).
Un vol en provenance de Moscou et à destination du Maroc a été retardée mercredi par une fausse alerte à la bombe. Une maman a trouvé cette astuce pour empêcher le départ de sa fille qui projetait de se marier avec un Marocain.
Selon un rapport de l’ONG Human rights watch (HRW) publié ce lundi, la loi antiterroriste adoptée par le Maroc quelques jours après les attentats meurtriers du 16 mai 2003 à Casablanca donnerait lieu à de nombreux abus. Les tortures, mauvais traitements, arrestations arbitraires entre autres, seraient ainsi régulièrement pratiquées sur les personnes arrêtées dans le cadre de cette loi. Le gouvernement sommé de
Cela fait deux ans et demi qu’Ali Aarrass est détenu dans une prison espagnole et peut être extradé au Maroc à n’importe quel moment. Pour empêcher cette extradition, «l’Appel pour la libération d’Ali Aarrass» a organisé jeudi 7 octobre à Bruxelles, une conférence pour inciter les autorités belges à s’opposer au transfert du Belgo-Marocain.
Des enregistrements découverts par hasard en 2007, dans les bureaux de la CIA révèlent que l'administration américaine aurait détenu et interrogé secrètement des terroristes présumés dans des prisons marocaines. Des preuves qui viennent une fois encore accabler le Maroc, souvent présenté comme le sous-traitant du sale boulot des services secrets occidentaux.
Le ministère de l’Intérieur a annoncé mercredi dans un communiqué, le récent démantèlement par les forces de sécurité d’un groupe terroriste. La bande était composée de 18 personnes, a indiqué la même source.
Une grosse incertitude plane encore sur leur identité, mais selon plusieurs agences de presses, des peines de cinq et dix ans fermes auraient été requises contre des Marocains par la chambre criminelle du tribunal de Salé.