Nombreuses sont les voix qui s’élèvent contre ce texte, y compris au sein de la majorité présentielle à l’Assemblée nationale. Des députés LREM ont en effet manifesté leur opposition.
Les acteurs associatifs ont fait savoir leur mécontentement, tandis que le Premier ministre a défendu ce qu’il considère comme le volet humaniste de la politique migratoire du gouvernement.
Fouzia Assouli, présidente de la Fondation euro-méditerranéenne des femmes (FEMF) et présidente d’honneur de la Fédération de la ligue démocratique des droits des femmes (FLDDF), déplore l’absence d’une loi autonome pour protéger les victimes.