Dans cet entretien en épisodes, Yabiladi part à la rencontre de Mahjoub Salek, l’un des fondateurs du Polisario, qui évoque la création du Front, sa fuite des camps de Tindouf, puis la génèse de «Khat Achahid» en 2004.
Brahim Ghali a trouvé la parade pour se dérober de sa responsabilité de l’échec de sa gestion de la crise de Guerguerate, faisant endosser la responsabilité de ce revers à Mohamed Abdelaziz et ses négociateurs du cessez-le-feu de 1991. Il a laissé fuité un «document classé confidentiel» dans la presse. Une fuite qui intervient étrangement à la veille de la commémoration du premier
Le 15e congrès du Polisario, prévu les 8 et 9 juillet, portera Brahim Ghali à la tête du secrétariat général du Polisario. En effet, il sera le seul et unique candidat pour la succession. Son «élection» devra relancer les plaintes de torture et de traitement inhumain déposées contre lui en Espagne, pays où il n’a plus mis les pieds depuis décembre 2008.
Brahim Ghali, l’un des prétendants à la tête du Polisario, a fait circuler dans les camps un testament sonore de Mohamed Abdelaziz le désignant comme son successeur. Mais la route vers le «palais jaune» de cet originaire de Rhamna n’est pas encore balisée. Se dresse devant ses ambitions, les plans de Khadija Hamdi : la veuve de l'ancien chef du Front Polisario.
Depuis le 4 juin, un compte sur Twitter publie des documents officiels du Polisario. Même si l’opération "Noor Khan" rappelle celle baptisée «Chris Coleman», elle est loin de rivaliser avec l'abondance de ses révélations.