Le Maroc et l’Algérie se sont invités dans les primaires de la droite en France. Chacun a parié sur son candidat : Nicolas Sarkozy pour le Maroc et Alain Juppé pour l’Algérie.
La polémique du burkini a fait couler beaucoup d’encre cet été en France. Une folle envolée médiatique et politique derrière laquelle plusieurs éminences grises se cachent. «L’Obs» revient sur les véritables protagonistes de ce tollé ; ceux qui en ont tiré les manettes.
Nicolas Sarkozy a salué la stabilité du Maroc et exprimé ses inquiétudes quant à l’avenir de l’Algérie. Sa sortie s’inscrit dans un série de discours qui semble bien rôdé. Mais ses propos continuent d’irriter les Algériens.
La droite française a sauté sur l’occasion. Après les propos controversés du président du CFCM sur la transformation des églises non utilisées en mosquées, le président des Républicains, Nicolas Sarkzoy, et d’autres figures de la droite comme Eric Zemmour et Alain Finkielkraut ont opposé leur niet catégorique dans une tribune publiée par Valeurs Actuelles.