Qui sont les utilisateurs de media sociaux au Maroc ? Que veulent-ils ? Une enquête du Cesem, le centre de recherche de HEM (école de Hautes Etudes en Management à Rabat), publiée hier, mardi 26 mars, distingue quatre profils parmi les utilisateurs des réseaux sociaux marocains. Un fait marquant ressort : si le printemps arabe a laissé croire que la «jeunesse» avait été le fer de lance de la mobilisation par les réseaux
Facebook, twitter, google+… tout le monde est quasiment branché sur les réseaux sociaux. Le smartphone est en quelque sorte devenu le meilleur ami de l’Homme qui, même quand il n’a rien à dire trouve toujours à redire. Et c’est là que ça devient… lourd !
La modération des contenus des 845 millions de comptes Facebook a toujours été un secret bien gardé jusqu’à cette semaine où un jeune Marocain, ayant travaillé pour le réseau social, comme modérateur, a dévoilé des documents internes expliquant le type de photos, vidéos ou messages tolérés et interdits par Facebook.
Walid Bahmane, un jeune étudiant marocain de 18 ans, risque de passer un bon bout de temps derrière les barreaux. Arrêté le 24 janvier dernier à Rabat, Walid Bahmane est accusé, selon le journal espagnol El Mundo, d’avoir insulté la personne du roi, et ce sur le réseau social facebook. Pour sa maman, il s’agit là d’un coup monté par un des amis de l’accusé.
Selon une étude d’une agence britannique spécialisée dans les réseaux de communication sur le continent africain, le Maroc est le cinquième utilisateur de Twitter en Afrique et premier au Maghreb.
Lancée en grande pompe en 2007, la Carte d’identité électronique (CINE) peine à trouver son utilité première au Maroc. Les 12 millions de détenteurs de ces cartes ne sont pas près d’être dispensés de fournir certains documents. Alors qu’un groupe facebook revendique l’activation de la CINE, le Maroc informe les citoyens de la possibilité de commander un acte de naissance sur internet.