Le secrétariat général du PJD a défendu le bilan de Benkirane, l’exemptant de toute responsabilité dans le «blocage». L’instance directive du parti pointe du doigt «les conditions successives» dans le retard de la formation du gouvernement.
Sans surprise, le secrétariat général du PJD a accepté le limogeage d'Abdelilah Benkirane. La décision sera entérinée samedi 18 mars par le conseil national de la Lampe. Simple formalité.
Plusieurs heures après le communiqué du Cabinet royal annonçant le limogeage d’Abdelilah Benkirane, les réactions se font de plus en plus rares quant à la réaction du roi Mohammed VI. Après celle du secrétaire général du PJD en personne, Nabil Benabdallah du PPS et Mohand Laenser du MP disent attendre la décision des instances de la Lampe.
Qui sera le successeur d'Abdelilah Benkirane ? Quatre prétendants pourraient assumer les fonctions de chef de gouvernement. Mais le PJD n’aura pas cinq mois devant lui pour désigner son candidat. Le communiqué du cabinet royal a insisté, hier soir, sur «un délai
Fait rarissime : deux anciens ministres du PJD font l'objet de critiques sévères dans un éditorial publié par «Akhbar Al Yaoum», un média proche de la formation islamiste. Détails.
La situation politique au Maroc peut paraître parfois extrêmement inextricable. On peine à déchiffrer ses us et coutumes malgré toutes les analyses que l’on puisse en esquisser. L’espoir n’est pas perdu pour autant, il suffit d’un événement ou d’un fait divers pour en déceler un rouage. On a pu se prêter à cet exercice encore une fois lors des récentes averses qui se sont abattues sur Rabat
Qui assume la responsabilité des inondations survenues hier Salé ? Le maire PJDiste, qui accuse la société gestionnaire de graves manquements. Quant aux élus du PAM, (opposition au conseil de la ville), ils pointent du doigt la mauvaise gestion du maire. La polémique ne fait que commencer.