Le dossier de l’immigration clandestine a été au cœur d’une réunion de haut niveau, organisée jeudi à Rabat, entre le corps diplomatique africain et des ministres marocains. L’occasion de s’expliquer sur le refoulement de migrants subsahariens des régions du Nord du royaume vers des villes de l’intérieur.
Quelque 480 emplois directs en Andalousie et 320 emplois indirects dépendent de l’entrée en vigueur de cet accord.
La commissaire européenne à la Justice craint que les «golden visas» favorise le blanchiment d’argent et la corruption. Elle appelle à dresser un bilan et à faire la lumière sur les bénéficiaires de cette pratique.
Depuis plus d’une dizaine de jours, les associations et ONGs dénoncent les déplacements forcés massifs de migrants du nord du Maroc. On parle de plus de 2 000 migrants qui ont été refoulés par les autorités marocaines.
Comme en 2005, la migration offre à l’Espagne de Pedro Sànchez une occasion de réclamer davantage de soutien financier à l’Union européenne. Et comme en 2005, cette politique s’appuie, en partie, sur l’engagement du Maroc.
Suite à la crise sociale que connait Royal Air Maroc, un rappel des droits des passagers en cas d’annulation de vol ou de retard s’impose.
La question de l’immigration «massive», en provenance du Maroc et à destination de Ceuta et de Melilla, ne date pas des temps présents. Mais si la situation actuelle est tendue, cela n’a pas toujours été le cas. Yabiladi vous propose une rétrospective sur la gestion des flux migratoires entre les frontières maroco-espagnoles.