La Banque centrale marocaine, Bank al-Maghrib (BAM), a publié fin juillet 2015 son rapport annuel qu’elle a présenté devant le roi. Ce document présente la situation économique, financière et monétaire du Maroc, en lien avec son environnement international. Le rapport passe en revue également les réalisations de l’institution, notamment sa supervision du secteur financier. Le rapport aborde également la question
Le ministère de l'Economie et des Finances organisait aujourd'hui une conférence de presse au sujet du remboursement de la dette. L'occasion pour nous de revenir sur ces 4 dernières années qui ont vu le retour du Maroc sur les marchés internationaux. Selon le ministre des Finances, Mohamed Boussaïd, "La politique d'endettement: un mal nécessaire".
L’économie marocaine devrait connaître une croissance moins forte en 2014 par rapport à l’année dernière. Le Produit intérieur brut (PIB) du royaume ne devrait progresser que de 2,4% cette année contre 4,4% en 2013 et ce, malgré le bon comportement des activités agricoles. Autre effet de cette croissance morose : la dette publique du royaume se situerait à 83,7% du PIB contre 77,4% en 2013 et le chômage,
La décompensation n’est pas une affaire de gouvernement, mais d’Etat. Avant d’être technique, la décompensation est un choix de société
La compagnie marocaine de transport maritime Comarit-Comanav continue à faire parler d’elle. Après l’affaire des deux bateaux saisis à Sète, en France, c’est un ancien employé de la Compagnie marocaine de navigation (Comanav), auparavant propriété de l’Etat, qui tire la sonnette d’alarme. D’après lui, si la société se retrouve aujourd’hui au bord de la faillite, c’est
Le déficit budgétaire de l'Etat marocain a explosé en 2011. Supérieur à toutes les prévisions, mêmes les plus pessimistes venues du FMI, il atteint 6,1%. Les recettes exceptionnellement hautes cette année n'ont pas suffi à compenser l'augmentation des dépenses.