L'outrage envers les chefs d'Etat étrangers est condamné à la fois au Maroc et en Algérie. Pourtant, la dernière affaire Echourouk met en lumière une application de la loi à géométrie variable.
Dans un communiqué, le Syndicat national de la presse marocaine dénonce le projet de loi n° 71.17 visant, selon lui, à vider le Code de la presse et de l’édition de son contenu. Le SNPM a déjà commencé des consultations avec les groupes parlementaires.
L'ONG établit un bilan contrasté sur les droits humains au Maroc : La liberté d'expression, restreinte, et le droit à manifester, parfois vacillant, tranchent avec les progrès effectués sur les travailleuses domestiques et la politique migratoire du royaume. Détails.
Le classement ne va sans doute pas du tout plaire au gouvernement marocain. Cette année encore, le Maroc est encore pointée du doigt dans le classement sur la liberté de la presse de RSF. L'ONG a classé le Maroc à la 131ème place dans la zone rouge de son Indice 2016 pour la liberté de la presse. Le royaume se retrouve donc dans des positions peu enviables dans les classements régionaux. Les projets de lois sur la presse amorcés au