Omar al-Mokhtar fut l’un des combattants qui marquèrent le plus l’histoire des résistances anticoloniales en Afrique du Nord. En Libye, il mena en effet un combat acharné contre l’occupation italienne au début du XXe siècle.
À l’aube du XXe siècle, alors que les grandes puissances européennes se livrent à une course effrénée pour le contrôle du Maghreb, une voix s’élève en France contre la brutalité de la politique coloniale menée au Maroc. Cette voix, c’est celle de Jean Jaurès. Loin des discours patriotiques qui justifient les interventions militaires sous couvert de civilisation et de progrès, le leader
Deux albums photos rares, datant de 1911 à 1919, documentent le Maroc durant l'invasion française, capturant les mouvements militaires, la domination coloniale et les sites locaux. Malgré leur perspective coloniale, les images préservent involontairement la résilience et la vitalité culturelle marocaine.
Le 29 décembre de chaque année, les batailles de Jbel Baddou fêtent leur anniversaire. La date a été choisie par le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de libération pour «préserver la mémoire nationale». Retour sur les faits marquants de cette bataille menée par les tribus amazighes contre le joug de la colonisation.
Le 2 octobre 1955, l’Armée de libération nationale mènera sa première opération dans le Nord du Maroc contre les forces du protectorat. Durant deux jours, les résistants marocains réussiront à infliger d’importants dégâts matériels et humains et contrôler les montagnes au nord de Taza. L’armée se divisera ensuite en deux courants pour continuer à opérer dans le sud du royaume
Le 14 juillet 1955, une bombe artisanale fabriquée par trois Casablancais explose devant le café Mers Sultan, situé dans le quartier éponyme, faisant six morts et une trentaine de blessés européens. Les Marocains venaient d’entamer une phase de résistance armée au lendemain de l’exil du sultan Mohammed Ben Youssef. Histoire.
Alors que le Maroc a exprimé sa préoccupation à la suite du déclenchement des actions militaires dans la bande de Gaza et a condamné «les attaques contre les civils d’où qu’ils soient», le PJD, le PPS, l’AFG et le PSU, ainsi que l’association Justice et bienfaisance ont exprimé leur soutien à la résistance palestinienne et ont tenu Israël responsable des faits. D’autres formations