Le procès intenté par quelques 850 cheminots marocains contre la SNCF pour discrimination n’est pas prêt de toucher à sa fin. Lundi, 22 d’entre eux étaient présents à l’audience des plaidoiries au tribunal des Prud’hommes de Paris.
De la satisfaction à la déception. Ce sont les deux sentiments par lesquels on est passé le mardi 28 mai 2013, en assistant en tant qu’analyste et observateur de la scène migratoire marocaine aux travaux de la commission «Justice, Législation et Droits humains», relevant de la Chambre des Représentants.
Marocains du Monde. L’expression sonne presque comme une victoire. Celle d’un sens plus heureux, plus neuf et plus optimiste. Oui, une victoire remportée sur des abréviations – TME, RME, MRE… Qui disaient le Travail, l’Etranger, l’Attachement et la Solitude.
Les développements qui suivent vont constituer en de brèves informations sur le traitement durant la dernière période du dossier des Marocains résidant à l’étranger par le parlement marocain. Ces informations seront accompagnées de courts commentaires sur le sujet.
Durant les quatre premiers mois de cette année, l’économie marocaine est encore dans le rouge, les exportations de phosphates baissent de 30% ; les transferts des MRE de 1,6% et les recettes du tourisme de 1,1%. Heureusement, il y a d’autres produits qui sauvent la mise. La publication de ces résultats mitigés coïncide avec la toute dernière mise en garde du FMI au gouvernement Benkirane sur les dangers de
Le PAM a ouvert un bureau, vendredi, à Bruxelles. Le parti politique marocain se lance à la conquête des MRE à la suite du PJD, déjà présent depuis de nombreuses années. Signe que le droit de vote depuis leur pays de résidence leur sera enfin vraiment accordé ?
A moins de quatre semaines avant le démarrage de l’opération Transit MRE, les responsables en charges du trafic entre le Maroc et l’Espagne se sont réunis pour une mise au point. Tout semble prêt. Du côté de la France, l’heure est aux derniers réglages. Tous s’accordent cependant sur l’affluence des voyageurs cette année, redoutant la période du ramadan.
La série d'expulsions de Marocains pour terrorisme se poursuit en France. Cette fois, il ne s’agit pas d’un imam mais d’un jeune de 24 ans. Il séjournait dans l’hexagone depuis à peine de 4 ans. C’est la troisième mesure de ce type prise contre un MRE depuis le mois d’octobre dernier.