Elle a quitté le Maroc pour se sentir plus libre et a choisi de s’installer à Lille, ville où elle se sent bien. Elle, c’est une bloggeuse marocaine qui raconte sur son site pourquoi elle «a fui» le Maroc. Yabiladi avait publié son article dans son espace Tribune. Les lecteurs n’ont pas manqué de réagir. Certains accusent la jeune femme d’avoir lâchement abandonné son pays d’origine.
Le feuilleton du scandale du CIH n’est pas prêt de se terminer. Dans sa nouvelle édition 2012, les acteurs changent mais le fond reste le même : mauvaise gestion des deniers publics.
L'ancien directeur de publication du quotidien arabophone marocain Al Massae a fini de purger sa peine. Il a été libéré aujourd'hui, samedi 28 avril, après un an derrière les barreaux de la prison de Casablanca.
L’affaire Nini refait surface. Human Rights Watch (HRW) demande sa libération. Dans un communiqué publié aujourd’hui, l’ONG internationale condamne les lois qui criminalisent la diffamation envers les agents de l’état, ainsi que celle d’ «outrage» d’un fonctionnaire qui entravent la liberté d’expression.
Depuis une dizaine d’années, le Maroc s’est engagé dans une transition démocratique et vers l’instauration d’un Etat de droit. Cela s’est traduit par un élargissement des espaces dédiés au champ des libertés, notamment la liberté d’expression pour la presse, ainsi que pour la société civile.
A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée le 3 mai de chaque année, le Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) a organisé le dimanche 2 mai à Rabat, une conférence de presse. Au cours de cette conférence, l’organisation a présenté son rapport annuel sur la liberté de la presse.
C’est mercredi 7 avril 2010 que s’est tenue la 1ère édition des Assises de l’Industrie à Casablanca (Place Nevada près du Parc de la ligue Arabe) avec la présence de SM le roi Mohammed VI, du Premier ministre Abbas El Fassi et de nombreux ministres ainsi que des personnalités de premier plan.
Le tribunal de seconde instance de Guelmim a jugé en faveur de l'appel déposé par les avocats de Boubaker Al-Yadib, condamné initialement à 6 mois de prison et 500 Dirhams d'amende pour «dégradation des biens de l’Etat», «atteinte à un agent de l’Etat», et «participation à une manifestation illégale». Ainsi, le blogueur marocain a été remis en liberté dans la
Le Parlement marocain s'est lancé, début février, dans un vaste dialogue national sur les médias, et la presse papier en particulier. Ce débat, qui rassemble parlementaires, directeurs de publications, responsables associatifs militant pour le respect et la défenses des droits de l’homme, chercheurs et professeurs universitaires, a pour but d'apaiser les tensions existantes entre les autorités et le milieu de la presse.
Les réactions continuent à fuser après le vote massif et surprenant ce dimanche des Suisses pour l’interdiction de la construction de nouveaux minarets dans le pays. A l’unanimité, tous les messages pointent une discrimination.