Dans sa contribution au débat sur la réforme du Code de la famille, conformément à la récente lettre royale adressée au gouvenrement pour accélérer ce chantier, l’ADFM a soumis des propositions axées particulièrement sur la non-discrimination. Elle insiste notamment sur une harmonisation avec les principes constitutionnels, mais aussi les dispositions internationales auxquelles le Maroc a adhéré.
L’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM) a tenu une table ronde, mardi à Rabat, dans le cadre du lancement de son mémorandum «Pour une école de l’égalité entre les sexes». Cette rencontre s’est tenue lors de la Journée mondiale de l’éducation, célébrée le 24 janvier, avec l’idée de pérenniser l’enseignement des valeurs
A trois jours de la rentrée parlementaire, qui sera présidée par le roi Mohammed VI, les organisations féministes sont à cheval sur la question de l’égalité, estimant qu’elle devra figurer dans les priorités de cette session. L’ADFM insiste surtout sur les questions abordées lors du précédent discours royal.
Le ministre de l’Intérieur a été appelé «en urgence» à mettre en œuvre le nouveau dispositif juridique relatif aux terres collectives Soulaliyates, tout en veillant à ce que les décrets d’application n’ouvrent pas la porte, une nouvelle fois, à des pratiques discriminatoires. L’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM) fait d’ores et déjà le constat de ces
À l’approche de l’examen du rapport périodique du Maroc par le Comité CEDAW au sein du Haut-commissariat aux droits de l’Homme de l’ONU, l’Association démocratique des femmes du Maroc (ADFM) a présenté le rapport parallèle des ONG en la matière. Elle insiste pour que la récente adhésion du pays aux mécanismes onusiens contre les inégalités de genre soit suivie d’actions.