C’est un petit pas, car le calvaire que subissent les femmes porteuses de marchandises dans les enclaves espagnoles reste sans fin. Une nouvelle loi relative à leur activité sera appliquée début avril. Elle suscite déjà des avis mitigés.
Lundi, les commerçants de Ceuta ont laissé éclater leur colère contre le ministre espagnol de la Justice. Ils le tiennent pour responsable de la défection des clients marocains qui évitent de se rendre dans la ville. En cause, les bousculades parfois meurtrières que connaît le passage frontalier de Tarajal.