Alors que l’école est censée être un lieu d’apprentissage et de sécurité, des milliers d’enfants vivent au quotidien un véritable calvaire dans leur classe qui se transforme en lieu de torture. S’ils n’ont pas fait leurs devoirs ou se disputent avec leurs petits camarades, ils risquent de se prendre une raclée par leur professeur, des raclées qui peuvent aller de la simple gifle aux décharges
A l’heure actuelle, on ne sait toujours pas qui composera le prochain gouvernement d’Abdelilah Benkirane et qui sera le nouveau ministre de l’Education. Mais ce qui est sûr, c’est qu’il aura du pain sur la planche. Améliorer le taux de scolarisation, lutter contre l’analphabétisme et la déperdition scolaire, redonner confiance aux professeurs d’université en leur donnant plus de moyens… Ce sont là quelques
Et comment faire de l'école un moyen de renforcer les classes moyennes? La question se pose, car, comme l'estimait Brahim Fassi-Fihri, président de l'institut Amadeus, «malgré les efforts budgétaires consentis, notre système éducatif est fermé.»
Hier marginalisée, la classe moyenne est aujourd'hui au centre des préoccupations des hommes politiques marocains. C'est du moins le message qu'essaient de faire passer ces derniers.
Le discours royal du 31 juillet 2008, à l'occasion du 9ème anniversaire de l’intronisation de SM le roi Mohammed VI, a mis en perspective «l’urgence» de donner à la classe moyenne une place et une assise au sein de l’architecture sociale marocaine. Quelles sont les raisons qui expliquent ce regain d'intérêt pour cette catégorie de la population.
Drame passionnel au lycée Lyautey, ce mardi 17 juin 2008, vers 17 heures, avec une élève de Terminale victime d’un coup de cutter porté au niveau de sa gorge par un collègue de classe. Plongée dans un coma profond, Nawal Lazrak, 18 ans, a été conduite en urgence à la clinique la plus proche (Clinique Val d’Anfa).