Avec un retard d’une journée, le jeune marocain, J.W.N, l’ami de Ray Cole, a pu bénéficier de la liberté provisoire. Néanmoins, le Marrakchi qui a connu le Britannique sur les réseaux sociaux, risque encore la condamnation en appel.
Luc Ferry persiste et signe. L’affaire de pédophilie impliquant un ancien ministre français à Marrakech en 2011 a bel et bien existé selon le philosophe. Sur le plateau de l'émission ''Médias le mag'' diffusée sur France 5, l’ancien ministre de la Jeunesse et de l’Éducation nationale, n’a pas changé «une virgule» dans ces révélations d’antan.
La forte mobilisation au Royaume-Uni en faveur d’un britannique emprisonné à Marrakech pour pratiques homosexuelles a contraint la justice marocaine, pourtant réputée lourde, à agir très vite et ordonner la libération du Britannique. A Londres, des parlementaires ont même menacé Rabat de conséquences économiques et diplomatiques si Ray Cole n’est pas libéré.
Les réunions internationales qu’accueille le royaume ont toujours connu la présence de représentants israéliens. Le Forum mondial des droits de l’Homme, prévu fin novembre dans la ville ocre, ne devrait pas déroger à la règle. A deux mois de cette échéance, Al Adl Wal Ihsane se lève contre la présence d'une délégation israélienne à Marrakech.
Le groupe Taj Hotel abandonne la gestion du Taj Palace de Marrakech. Après Mandarin Oriental, au moment de l’affaire Patrick Finet, l’homme d’affaire marocain Jaouad Kadiri perd une nouvelle fois son partenaire dans la gestion d’un hôtel de luxe à Marrakech.