A l’initiative de Liquid Bridge, trois danseurs chorégraphes marocains résidant à l’étranger ont été invités à l’American Arts Center de Casablanca, pour donner des ateliers dans le cadre de Bridge it up. Le week-end dernier a connu la clôture de cette initiative, qui ambitionne de créer littéralement des ponts entre les professionnels et les amateurs nationaux du hip-hop, évoluant au Maroc
Adil Lakhdim, alias Dilay Boog, a silonné le Maroc, la France, les Etats-Unis et la Suisse, guidé par son engouement pour la danse et surtout pour le hip-hop. Soucieux de transmettre son expérience cumulée depuis les années 1990 dans ce domaine, il voit grand pour la génération montante des danseurs et chorégraphes au Maroc.
En janvier dernier, Hamza El Karmoudi a fait partie de trois danseurs hip-hop qui participaient à un tournoi international prévu aux Pays-Bas, après avoir raté un premier, faute d’obtention de visa à temps pour acheter les billets d’avion. Mais il terminera son voyage dans un centre fermé et verra son visa annulé. Récit.