Un journal israélien a publié un article évoquant les aides envoyées par des Israéliens à des villages amazighs isolés dans les montagnes de l'Atlas. Le média soutient l'existence d'Amazighs qui «croient au droit d'Israël à exister sur la terre de Palestine» et qui «expriment leur volonté de nouer des relations amicales avec l'État hébreu».
Ce documentaire produit par Yabiladi revient sur l’histoire de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM), fondée en 1956 au lendemain de l’indépendance et restée aux mains du parti de l’Istiqlal, jusqu’à une scission ayant donné lieu à un virage à gauche. Des faits sanglants entre mouvements estudiants rivaux ont ensuite plongé les universités dans une violence sans fin.
Dans un pays à majorité musulmane sunnite, plusieurs courants religieux et doctrines dérivés de l’islam ou complètement différente de la religion de l’Etat, existent au Maroc. Après l’Ahmadiyya et le Bahaïsme, l’occasion de mettre la lumière sur l’Ibadisme et comment l’une des plus veilles écoles de l’islam dispose de disciples parmi le mouvement amazigh. Révélations.
Les autorités marocaines ne réagissent pas toujours de la même façon aux mouvements de solidarité avec les sinistrés des récentes inondations. Parfois, elles autorisent des caravanes et des campagnes de collectes d’aides en faveur des victimes. Mais dans d’autres cas, elles brandissent l’interdiction et la matraque. C’est ce qui s’est passé, le 28 décembre, à Casablanca.
Plus d’un an et demi après l’officialisation de la langue amazighe dans la constitution, le mouvement Amazigh attend du concret et s’impatiente en manifestant son mécontentement dans la rue. Une pression qui se fait plus intense.