C’est à l’âge de 43 ans, plus de dix ans après son divorce, que Rachida Yakoubi a pris la décision de revivre par l’écrit l’expérience douloureuse de son divorce. Son livre, «Ma vie, mon cri» se veut un rayon de lumière pour toutes ces femmes qui vivent la même situation.
Actuellement, les écrivaines marocaines réclament une totale liberté de création et rejettent toute sujétion à un déterminisme sexuel qui pourrait orienter thématiquement ou esthétiquement leur texte.
«La question de la virginité n’est plus aussi taboue qu’avant», se frayant un chemin dans le débat au Maroc. Mais qu’en est t-il de sa sacralité ? Est-ce qu’elle a toujours la même importance qu’avant ?