Le climat des affaires au Maroc s’est légèrement amélioré par rapport à l’année dernière. C’est ce qui ressort du rapport Doing Business 2014, rendu public ce mardi 29 octobre, par la Banque mondiale. Celle-ci attribue au royaume la 87e position cette année, soit 8 places de mieux qu’en 2012.
Le taux de chômage croissant en Espagne incite beaucoup d’Espagnols à s’expatrier. Certains se dirigent vers le Maroc en tant que salariés d'entreprises espagnoles ou marocaines. Le nombre de ceux qui ont été envoyés par leur entreprise a augmenté de 62% en 2 ans.
Le Maroc poursuit sa quête aux investissements étrangers. Les entrepreneurs irakiens répondent à l’appel et relèvent quelques freins au déploiement de leurs affaires dans le royaume chérifien. Il s’agit notamment de l’obtention du visa marocain qui est un véritable parcours du combattant. Rabat serait prêt à assouplir la procédure.
Coup dur pour les entrepreneurs espagnols se disant victimes d'escroquerie au Maroc. L'Union européenne estime que l'affaire ne peut-être considérée dans le cadre de l'accord d'association liant Rabat et Bruxelles. Aujourd'hui, la justice seule peut trancher, selon l'ambassade d'Espagne à Rabat.
Des entrepreneurs espagnols accusent Addoha depuis l’année dernière pour «d’extorsion, d’escroquerie et de fraude», sans que ce dernier ne réagisse. Mais les déclarations de certains de ces entrepreneurs, jugée insultantes, auraient poussé le groupe immobilier marocain à faire recours à la justice.
Quand les patrons algériens décident d’investir au Maroc afin de jouir de la proximité géographique, l'ouverture définitive de la frontière semble se profiler comme une urgence.
Désormais conscientes de ce que le marché africain représente en terme de rentabilité, les entreprises marocaines sont de plus en plus nombreuses à y investir. Le panel des secteurs d’activité s’élargit.