Bien que la production de résine de cannabis en Afrique est «circonscrite au Maroc», le royaume arrive en tête des pays ayant effectué des saisis records en 2017, indique l’organe international de contrôle des stupéfiants (OICS) dans un nouveau rapport. Quant aux trafics de stupéfiants, le Maroc n’est pas, non plus, épargné.
Kenza Afsahi est sociologue en France, elle étudie depuis des années la sociologie de la déviance et, à travers elle, la culture mondialisée du cannabis. Elle décrit les changements qui se sont opérés dans la culture du cannabis dans le Rif sous l’influence des hippies, des Algériens et des «breeders».
Les derniers chiffres concernant la culture de cannabis au Maroc ont été présentés ce mercredi. Après une longue et importante baisse, la superficie de cannabis stagne désormais.
Dans sa croisade médiatique contre le Maroc, Abdelkader Messahel a usé d’un rapport Doing Business pour affirmer la supériorité de l'Algérie par rapport à ses voisins d'Afrique du Nord. Détails.
D’après le Bureau central des investigations judiciaires, le montant de la valeur de la cocaïne saisie plafonne à 25 milliards 850 millions de dirhams. Des calculs erronés qui ont enflammé la toile et les médias.
Le Maroc est le premier producteur mondial de résine de cannabis même s’il dispose de la deuxième plus grande zone de cannabis éradiquée en 2015. C’est ce qu’annonce l'Organe international de contrôle des stupéfiants dans son rapport annuel sur la situation mondiale du trafic de drogues et de stupéfiants.