Plus de cinq ans après la Lettre royale du 30 décembre 2016 appelant les autorités à mettre en place une stratégie urgente pour faire face à la spoliation immobilière et ses mafias au Maroc, les dossiers sont au point mort, et les plaignants déséspérés. Pour Maître Messaoud Leghlimi, les victimes n’ont plus d’autre choix que de saisir à nouveau le roi Mohammed VI contre une mafia
La spoliation de biens des Marocains résidant à l’étranger ou au Maroc est un cauchemar sans fin. De nombreuses victimes attendent un jugement depuis de longues années. Mais même ceux ayant obtenu gain de cause au niveau de la justice n’ont toujours pas récupéré leurs biens.
Les villes du Maroc connaissent une grande disparité en matière du prix de logement. À titre d’exemple, le loyer mensuel déboursé pour un appartement 3 pièces à Casablanca (8 523 dirhams) constitue le triple de celui d’un appartement aux mêmes caractéristiques à Nador (2 667 dirhams). Une différence qui résulte de plusieurs facteurs tels que le coût de la vie, les opportunités
Depuis la fin des années 1960, les principaux secteurs de l'économie marocaine ont bénéficié d'exonérations fiscales dans le cadre de plans d'investissement. Oxfam au Maroc s'est penché sur ces exonérations pour en mesurer leurs impacts.
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