La mobilisation des Marocains et Marocaines sur les réseaux sociaux en faveur des deux filles d’Inezgane a incité deux chefs de partis de la majorité gouvernementale à surfer sur cette vague. Nabil Benabdellah du PPS déclare sa solidarité avec les victimes alors que Salahedine Mezouar du RNI n’a pas hésité à pointé du doigt le comportement de la police et du parquet général.
Le remaniement ministériel tarde à voir le jour. Abdelilah Benkirane ne cesse de répéter qu’il sera très limité. L’entourage royal n’est pas de cet avis. Il souhaite le départ de cinq à sept ministres dont trois rien que pour le PJD.
Rachid Talbi Alami, président de la Chambre des représentants, est le premier haut responsable marocain à dénoncer publiquement la ligne éditoriale de Charlie Hebdo alors que le magazine bénéficie d’une vague de solidarité internationale sans précédent. Alami n'est pas membre d'un parti islamiste, il appartient au RNI, parti libéral de centre droit.
Un élu du PJD vient récemment d'accuser le ministre des Finances de favoriser une société, détenue par son frère, pour la réalisation de routes à Casablanca sans passer par la procédure de l’appel d’offres. Le RNI s'offusque, Benkirane tente d'éteindre l'incendie.
Même étant devenu, depuis le 10 octobre, une composante de la majorité gouvernementale, la relation du RNI avec le PJD ne s’est guère améliorée. Preuve en est les récents propos de Mustapha Ramid sur l’affaire de la nationalité française de Salaheddine Mezouar. Après une levée de bouclier des ministres de la Colombe, le PJDiste a été contraint d’expliquer ses propos, accusant la
Au Maroc, la politique et le sport font plutôt bon ménage. Le WAC, l’autre grand club casablancais qui traverse une mauvaise période, est dirigé depuis quelques heures, par un député du PAM. Le parti créé en 2008, par Fouad Ali El Himma, compte la présidence d’un autre club de football de 1er division, le Chabab Rif Al Hoceima à la tête duquel trône l’homme fort au sein du Tracteur, Ilias El