Les relations entre le Maroc et la France traversent une nouvelle et mauvaise passe. Il faut dire que le passage d’un président de gauche au palais de l’Elysée semble toujours avoir un effet néfaste sur les rapports franco-marocains. Hier c’était Hassan II avec Mitterrand et aujourd’hui c’est Mohammed VI avec Hollande.
Sa visite était très attendue par la communauté musulmane de France. François Hollande s’est rendu, comme prévu, ce mardi, à la Grande mosquée de Paris pour rendre hommage aux soldats musulmans morts pour la France. Dans son discours, le président français a affirmé que l’islam de France était «parfaitement compatible avec les valeurs de la République».
Après le Mali, cap sur la Centrafrique. Le Maroc se voit ainsi offrir une autre occasion pour consolider sa présence sur le continent, bien qu’il ne soit pas membre de l’Union africaine. Sauf que les troubles confessionnels à Bangui et ses alentours n’ont aucun lien avec la guerre contre les groupes extrémistes qui occupaient le nord du Mali. En Centrafrique, les militaires marocains sont sur un terrain miné.
48 ans après la disparition de Mehdi Ben Barka, sa veuve et ses enfants sont encore dans l’affliction. Une affliction accentuée par l’injustice qui marque cette affaire depuis près d’un demi-siècle. Avec tous les discours prometteurs de François Hollande sur les droits de l’homme à son arrivée à la tête de la France, la famille du défunt espérait que certaines zones d’ombres du dossier
Lettre ouverte conjointe des associations AMF, ASDHOM, ATMF, FMVJ/France et APADAM adressée au prédisent de la République française, François Hollande, sur le cas de Mehdi Ben Barka.
Près d’une semaine après le naufrage d’une embarcation à Lampedusa, ayant couté la vie à plus de 300 immigrés clandestins en provenance d’Afrique, François Hollande annonce vouloir proposer une nouvelle politique d’immigration à l’Europe. Selon le président français, celle-ci sera articulée autour de trois principaux volets.