Hier, la députée Amina Maelainine s’est adressée au délégué général à l’administration pénitentiaire, Mohamed Salah Tamek, en exigeant de lui des «excuses au Parlement» après que la DGAPR a critiqué, lundi, une question écrite adressée au chef du gouvernement autour de la grève de la faim des détenus du Hirak.
Le 29 décembre 2019 à la Chambre des représentants, le député Omar Balafrej a plaidé une «ouverture» pour tourner la page des nombreuses arrestations et condamnations visant journalistes et activistes. Un contexte qui n’est pas sans rappeler celui qui prévalait avant la grâce royale du 7 janvier 2004.