Une semaine après l’arrestation de Daniel Galvan dans un hôtel de Murcie, l’avocat du pédophile indique que son client souffre de «problèmes mentaux» et réclame, en conséquence, de lui accorder des «circonstances atténuantes».
Victime de viol à plusieurs reprises, une fille de 13 ans vient de donner naissance à un enfant. Le scandale s’est produit à Skhor Rhamna, une commune rurale située dans la région de Marrakech, au Maroc.
Le procès des jeunes filles, dont l’une agressée et l’autre violée, qui devait avoir lieu ce matin a été reporté au 7 octobre prochain. Les avocats des accusés ont cependant réclamé leur liberté provisoire. La Cour d’appel n’a pas encore statué, mais cette demande suscite autant l’indignation que les faits qui leurs sont reprochés.
La journée a été difficile pour les responsables politiques marocains et espagnols. Comment réagir à la délicate affaire de grâce royale du pédophile espagnol Daniel Galvan, sans faire de bourde ? Après un silence assourdissant ce matin, les digues des chargés de communication ont commencé à prendre l’eau.
Jihane et son amie n’ont que 17 ans et toute la vie devant elles lorsqu’elles se font kidnapper par deux garçons. Ces derniers les emmènent dans un terrain vague dans les environs de Rabat, les menacent à l’arme blanche, agressent Jihane et violent sa copine.
Don Bigg, Nour Eddine Lakhmari, Aziz Bouderbala, Momo ... et d'autres participeront à la marche blanche contre la pédophilie organisée dimanche 5 mai, sur la Corniche de Casablanca. Organisée en réaction au viol de la petite Wiam à Sidi Kacem, elle veut interpeller toute la société marocaine.
Alors que la petite Wiam est toujours sous observation médicale dans une clinique à Casablanca, deux jours après avoir subi une opération au visage, la société civile marocaine continue de se mobiliser pour mettre la pression sur la justice afin que le bourreau de la petite fille soit condamné fermement. L’association Touche pas à mes enfants réclame une peine de prison à perpétuité.