Le sélectionneur national de la Tanzanie, Adel Amrouche, a comparu ce jeudi devant la commission disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF). Il y a quelques jours, le coach algérien a accusé la Fédération royale marocaine (FRMF) d’influencer les décisions de l’instance continentale en faveur du Maroc.
En battant la Tanzanie pour le compte de la première journée du groupe F, dans le cadre de la phase de poules de la CAN 2023, le Maroc a décroché les trois points (3-0) qui lui donnent une longueur d’avance, par rapport aux autres équipes qui ont jusque-là disputé leurs matchs.
Dans les années 1980, en pleine guerre du Sahara, le Maroc n’hésitait pas à répondre fermement à toute agression, surtout dans les eaux de la province. Le 17 janvier 1980, les Forces royales Air (FRA) tiraient même sur le destroyer espagnol Almirante Ferrándiz (D22), qui se trouvait entre Dakhla et les Îles Canaries.
Au XVe siècle, une femme riche de son courage, de son savoir, de son intelligence et de l’aura de sa famille andalouse écrivit l’histoire de Tétouan au féminin. Première gouvernante de la ville, Sayyida al-Horra fut une pirate coriace crainte par les armées européennes les plus tenaces.
L’historien et chercheur Nabil Mouline vient de publier son nouvel ouvrage, «Drapeaux du Maroc», où il retrace l’évolution du drapeau national à travers les siècles et les contextes politiques, sociaux ou régionaux. A partir du 20 janvier 2024, ce livre inédit et la riche documentation à laquelle il donne accès seront déclinés en exposition, au Musée Abderrahman Slaoui de Casablanca.