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Breve

Mohamed Sifaoui s'en prend à Latifa Ibn Zyaten, mère du soldat tué par Mohamed Merah

Publié
Crédit Photo: Huffington Post France
Temps de lecture: 2'

Le journaliste et écrivain algérien Mohamed Sifaoui, s’en est pris lors d’une intervention télévisée à Latifa Ibn Zyaten, la mère du soldat tué par Mohamed Merah. Invité à l’édition spéciale de France 2 consacrée aux attentats de Paris, le journaliste réfugié politique en France depuis 1999 et spécialiste de l’intégrisme a dénoncé la distinction qui sera remise à la mère du soldat tué par Mohamed Merah au point de déclencher une  levée de boucliers des autres invités présents sur le plateau.

Latifa Ibn Zyaten va recevoir le prix de la Fondation Jacques Chirac qui lui sera remis aujourd’hui par le président François Hollande au musée du Quai-Branly. Le président français  devrait prononcer un discours dans lequel il devrait rendre hommage à Latifa Ibn Zyaten pour ses efforts pédagogiques auprès des jeunes notamment sa tournée dans les établissements scolaires pour promouvoir la laïcité. C’est justement sur ce point que Mohamed Sifaoui a exprimé un désaccord étonnant.

«Je suis quand même assez étonné que dans un pays où on a compris qu’il y a avait une guerre idéologique à mener, […] qu’on honore à ce point, une femme qui a perdu son fils mais qui porte le voile par ailleurs …» déclare le journaliste franco-algérien avant d’être interrompu par Julien Bugier pour préciser que France Télévisions ne partageait pas ses opinions. «Je sais qu’on sacralise la victime dans ce pays», poursuit-il. «C’est une vraie tradition et c’est très bien, mais il y a des limites. Il faut chercher un peu de cohérence» ajoute –t-il.

«Ce n’est pas parce qu’une personne perd son fils, et il y en a beaucoup, qu’on va la faire sortir de ses fourneaux pour en faire une égérie de la lutte antiterroriste» a-t-il affirmé avant de subir une flopée de contre-réactions de la part des autres invités. Sans sourciller, il poursuit «ce n’est pas une opinion qui engage France télévisions mais je tenais quand même à l’exprimer : cette incohérence qui veut qu’on dise à des jeunes filles que le voile salit la féminité et qu’on leur introduise une personne voilée qui va leur enseigner les valeurs de la République. Je trouve que c’est quelque peu dommageable» conclut-il.

C'est plus simple
Auteur : FATEM95
Date : le 12 décembre 2015 à 19h45
Je ne pense pas qu'il y a un rapport avec leurs nationalités. Lui algérien, elle marocaine, et le tueur de son fils algérien. On a juste affaire à un journaliste à l'égo surdimensionné et sans scrupules. Bref on a affaire à un con. Comme disait Brassens:" Quand on est con, on est con".
Merah a agit contre l'autre=devoir d'accepter la différence
Auteur : zsahara
Date : le 12 décembre 2015 à 17h57
Merah a tué son fils mais lui veut tuer ses pensées et son de pardon .
Le journaliste avec son geste se positionne avec les racistes même avec un nom Mohamed.
Se donner l'importance c'est accepter l'autre et ses choix et cette autre n'est qu'une femme qui se comporte comme la mère de ce journailste , sa femme ou sa soeur puisque cet un algérien.
Le mal des immigrés est qu'ils sont restés confus et il y'a une faille entr leur intérieur et extérieur .
La femme a acepté la mort de son fils sans rancune pour les algériens mais lui il veut polluer ses activités.
Tout est question de contexte
Auteur : UnChamali
Date : le 10 décembre 2015 à 09h36
Après la seconde guerre mondiale, la petite moustache et la mèche sont moins à la mode qu'avant
Le voile de Latifa Ibn Ziaten
Auteur : HAJJ27
Date : le 10 décembre 2015 à 07h09
Bonjour, pourquoi tant de discours sur le port du voile de Latifa Ibn Ziaten. Il n'y a pas si longtemps, en France, les femmes mettaient le voile pour entrer dans une église. Et aujourd'hui encore, on peut voir des femmes avec un fichu ( oui on n'appelle pas cela un voile) en Corse. Et ses femmes, âgées ne sont pas musulmanes. Alors, un peu de tolérance!
C'est un carriériste
Auteur : FATEM95
Date : le 24 novembre 2015 à 17h40
C'est le problème des gens qui ont les dents longues et qui veulent brûler les étapes pour arriver plus vite. Le sentiment de jalousie et de sentiment d'échec personnel est très fort. Et c'est probablement ce qu'il doit penser de cette dame, qui n'a pas son niveau intellectuel (du moins le pense-t-il), son savoir et se compétences.
C'est simple les carriéristes (et on en rencontre tous dans son milieu professionnel) ne sont jamais satisfaits. Car il veulent arriver vite, haut mais arriver seuls.
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