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Breve

De l'Algérie au Maroc, les nouveaux enjeux de la question amazighe

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Un séminaire sous le thème «Les nouveaux enjeux de la question amazighe» sera organisé les 18 et 19 avril prochains à l’Institut des Etudes Politiques de Lyon.

Cette rencontre qui verra la participation de plusieurs spécialistes de cette question, sera l’occasion pour Kameleddine Fekhar, journaliste indépendant et militant pour les droits de l’homme, et Tahar Khalfoune, universitaire et conseiller juridique, de se prononcer, le 18 avril, sur la question mozabite en Algérie.

Le même jour, le thème «Le mouvement amazigh marocain et la reconnaissance de l’Amazighité» sera animé par Meryam Demnati, chercheuse à l’Institut Royal de la Culture Amazighe et membre de l’Observatoire amazigh des droits et libertés. Amar Ouerdane, historien et spécialiste de l’histoire berbère et Zaher Harir, président du FORSEM, vont eux se pencher sur «l’histoire du mouvement amazigh en Algérie».

Le lendemain, Adbulahi Attayoub, président de Temoust et de l'ODTE et le député européen François Alfonsi vont se prononcer sur le thème «La question Touarègue : une lutte pour la survie». Enfin, M. Demnati, K. Fekhar, A. Ouerdane, et l’écrivain et artiste libyen, Moussa Harim, vont animer le thème «Les berbères aujourd'hui : enjeux et perspectives».

mre
Auteur : saamiir
Date : le 30 mars 2014 à 00h06
des chaines ,la langue arabe est une chaine alors,la langue du coran serait turque on parlerai turque,suivre avant l Islam est de la jahilia
Tamazgha,doit renaître .
Auteur : botr
Date : le 28 mars 2014 à 08h15
Du chanteur amazigh Ayyur.


Parlez-moi de nos grands-pères,
Qui avaient fait face au feu à Bugafer,
Rien que leur souvenir me rend malade.
Parlez-moi des courageux qui avaient combattu
Bravé la pluie et vaincu les légionnaires,
Malgré leur armement si modeste.
L’ennemi, aidé par les Français, a tué nos enfants
Le plomb pleuvait de partout, les avions bombardaient aussi,
Ils avaient l’intention de nous exterminer.
Enfants et femmes n’ont pas été épargnés,
Nombreux sont les villages détruits,
Nous avons perdu tant de cavaliers et de montures.
Ô, si nos ancêtres pouvaient revenir rien qu’un instant
Et voir ceux qui nous ont trahis,
Voler et piller nos terres.
Je m’adresse à ceux qui sont au pouvoir
Soyez maudits à jamais
Nous n’oublierons jamais ce qui s’était passé.
Le malheur nous accable,
Mon cœur souffre, mes frères sont toujours enchaînés
Ceux qui ont échappé à la mort sont emprisonnés.
Mes frères,
Intensifions notre lutte
Pour que nos chaînes se brisent.
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