Noël à Rabat, c’est le froid moins... la neige, les sapins et les rênes. Mais l’on se console avec un petit cadeau croustillant et chaud : les châtaignes grillées. Ces fruits non locaux sont assez rares mais pas introuvables. La petite histoire de ce street food hivernal fait chaud au cœur avec Moustapha, un vendeur généreux. Reportage.
Au delà des conséquences socio-économiques engendrées par la fermeture des mines de charbon de Jerada, un autre héritage pèse sur la vie des mineurs et de leurs familles : la santé. Les «gueules noires» ont développé des pathologies pulmonaires, souvent des insuffisances respiratoires conduisant à la mort. Une des maladies des ouvriers restés très longtemps au contact des particules de charbon
Elle a été incapable d’augmenter sa production pour couvrir son déficit. Charbonnage du Maroc, gérante de la mine à Jerada, a fermé en 1998 en laissant des milliers de travailleurs sans emploi. Les ouvriers qui ont résisté à l’exode se battent depuis plus de 15 ans contre la précarité. Un combat qui illustre toutes les problématiques socioéconomiques des habitants de Jerada.
Trois paires de jambes qui dépassent de tambours de sèche-linge. Cette photo résume la détresse des mineurs marocains, qui errent dans le quartier de la Goutte d’Or à Paris. Rapidement, le cliché est devenu viral et a ému les internautes, qui célèbrent Noëlet les fêtes de fin d’année en famille. Détails.
Depuis mars dernier, près d’une centaine de réfugiés sont bloquées au niveau administratif : Ils ne peuvent pas obtenir de titre de séjour. Les auditions ont été suspendues au sein du Bureau des réfugiés et des apatrides (BRA) à Rabat. Elles doivent avoir lieu juste après l’enregistrement auprès du Haut-commissariat aux Nations unies pour les réfugiés (HCR). Cette situation met ces