Après les condamnations à des amendes, prison avec sursis, voire prison ferme et interdiction de se présenter aux élections pendant deux mandats successifs de plusieurs candidats à la chambre des conseillers en 2006, pour fraude, corruption, achats de voix et intermédiation, le Ministère de Justice semble s’engager pour entamer une nouvelle ère politique pour le scrutin à venir.
Au lendemain des différents traitements médiatiques de «l’affaire Majidi» au sein des organes de presse marocains, plusieurs niveaux de lectures sont possibles. Entre ceux qui ont annoncé en grande pompe «l’info», et qui par maque de professionnalisme et d’honnêteté intellectuelle ont dû revoir le contenu de leur copie (le prix au m2 n’est plus estimé à 4500 Dh mais seulement à 350 Dh), ceux qui se sentent «floués» et craignent des «retours de bâton». Et enfin, ceux
Ce n’est pas la critique du film «Palais Royal» qui est d’actualité, mais un «arrêt sur image» sur une situation, quelque peu rocambolesque, qui occupe le devant de la scène au Maroc. En effet, Mounir Mohammed Majidi, Secrétaire Particulier du Roi Mohammed VI (et Pdg de la Holding Siger), est au cœur d’une fronde, pilotée par une coalition et dont l’ambition est nourrie de règlement de compte, de haine et de violence.
Alors que les travaux du Comité d’experts, mandaté par le Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH), se poursuivent avec le souci de remettre dans les temps, à la fois le bilan de leurs consultations des Marocains du monde et celui de formuler des recommandations au chef de l’Etat, il semblerait que tout ne soit pas aussi simple pour ces «experts».
Le Maroc et la Chine s’engagent à élargir leur coopération militaire. Les deux pays sont parvenus à un accord lors de la visite de la délégation marocaine qui prendra fin demain vendredi.
Des négociations concernant le future du Sahara sont prévues aux Etats-Unis, entre le Maroc et le Polisario, le 18 et 19 juin à New York. Certains craignent un possible échec, vu les désaccords sur la constitution de la délégation marocaine. N’empêche que ce dossier est fortement présent dans les pourparlers entamés ces derniers jours par les responsables espagnols avec Paris, Washington et l’ONU.
Comment est-on arrivé à la situation (alarmante) liée à la désaffection de la vie politique, du désintérêt croissant (et inquiétant) pour la chose publique, de cette hypocrisie ambiante distillée et entretenue par différents acteurs de la place,… qui constituent, aujourd’hui, le principal «ennemi» du pays?
Le ministre marocain de l’Energie et des Mines, Mohamed Boutaleb, sera en visite au Kazakhstan entre le 7 et le 10 juin, selon le représentant du Ministère des Affaires Etrangères kazakh.
L’Association des Travailleurs Maghrébins en France (ATMF) refuse de travailler avec le Conseil Consultatif des Droits de l’Homme (CCDH). L’association a décliné l’invitation du conseil au quatrième séminaire qui portera sur la citoyenneté et la participation. Ce séminaire entre dans le cadre du programme de travail concernant les migrations marocaines.
Mercredi à l’aéroport de Dakhla, un jeune policier se fait humilier dans l’exercice de ses fonctions par un parlementaire. Ahmed Bekkar, député de la région de Lagouira et membre du CORCAS, s’apprêtait à prendre l’avion pour Rabat quand le policier lui demande de voir sa carte d’embarquement, comme cela se fait dans tous les aéroports du monde.