«En politique, tous les coups sont permis». Nul n’en doute. Le nombre de règlements de compte, de coups bas, de mise en scène «caverneuses »,…font légion. Cette réalité, universelle du reste, est une composante majeure des environnements politiques ou des cercles de pouvoir. Néanmoins, ce n’est pas une raison suffisante pour «banaliser» ces agissements contre-productifs pour l’intérêt général.
Choc des cultures ou réalités sociales ? Tel est le sentiment qui transpire des discussions et des débats de la double «affaire Tel Quel et Nichane». Poursuivi pour atteinte à la personne du Roi, à la morale publique et aux mœurs, Ahmed Reda Benchemsi risque une peine de prison de cinq ans. Verdict, le 24 août prochain. Pour l’heure, et selon les éléments dont nous disposons, il y a lieu de s’interroger sur l’exercice de la liberté d’expression par les acteurs de médias
Ils sont nombreux, très nombreux, ce mardi matin, à l’heure du petit déjeuner, à avoir bu la «tasse». En effet, les marocains apprenaient très officiellement que le ministre délégué à l’Intérieur décidait de tirer sa révérence (après l’approbation du chef de l’Etat) quant à sa fonction stratégique au sein du ministère de souveraineté.
Alors que le directeur de publication a été "relaxé provisoirement", ce mardi, le journaliste Hurmat Allah, soupçonné d'entretenir des relations particulièrement proches avec des militaires est sous mandat de dépôt. Tous deux sont convoqués, jeudi 26 juillet, à partir de 13 heures, au tribunal de Casablanca.
La situation du journal Al Watan Al An se complique de jour en jour. En effet, après la garde à vue prononcée à l’encontre du directeur de publication et du rédacteur de l’article, qui a déclenché la réaction, quelque peu tardive (parution vendredi 13 et réaction mardi 17 juillet ?!) de l’appareil sécuritaire, des membres de l’armée (un colonel et autres gradés) ont fait l’objet de convocations, hier, pour répondre à une éventuelle «collaboration étroite» avec
C’était entre le 5 avril et le 4 mai 2007 qu’il fallait s’inscrire sur les listes électorales dans la commune où l’on habite ou, à titre exceptionnel, dans la commune de naissance. A l’exception des militaires, des agents de force publique et des fonctionnaires porteurs d’armes, tout citoyen portant la nationalité marocaine, résidant au Maroc ou à l’étranger et âgé de 18 ans révolus, a le droit de vote.
Hier matin, les locaux du journal arabophone El Watan, un des plus gros tirages du pays, ont été investis par des membres de la police secrète, un service rattaché au ministère de l’Intérieur. La raison ?
Au lendemain de l’annonce faite par le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, sur le risque très élevé d’attentats terroristes au Maroc et qui serait piloté par la cellule Al Qaida Maghreb, des zones d’ombres viennent brouiller les neurones de bon nombre d’observateurs avertis, soucieux de collecter de l’information (crédible) pour se fabriquer une opinion.
L’Union Européenne aurait prévenu le Maroc à propos de la « très forte probabilité» d’attaques terroristes dans les pays du Maghreb et incite à renforcer la sécurité dans les ambassades occidentales et les sites touristiques, a déclaré un journal ce matin.
C’est (enfin) parti ! La campagne électorale bat son plein. Les formations politiques, et plus particulièrement les partis du gouvernement Jettou (Istiqlal, USFP, PPS, MP, RNI ) ont investi l’espace collectif. En effet, depuis une quinzaine de jours, une pluie de programmes politiques, un ouragan de promesses et de mesures, sont proposés aux 10 millions d’électeurs. S’il faut reconnaître que, contrairement aux échéances précédentes, les partis présentent aujourd’hui des